Dansun match à gros enjeu entre le 9e et le 10e, les Saint-Serniquois ont remporté un probant succès 4 à 1 sur le terrain de Sainte-Bazeille. Cette rencontre aura été
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Une main qui attrape l’oreiller pour enfouir sa tête dessous. C’est un de ces réveils douloureux dans la lumière grise de l’aube. En deux plans et 3 secondes, je me suis déjà complètement identifié au héros qui s’avère être une héroïne. On filme du vécu. L’image est belle. Cette fois, je suis d’accord pour faire un tour de manège. Vous vous rappelez la pub Intermarché – lamourlamour ? Finalement, on peut faire de belles choses en marketing. Même en France. Mais au fond, qu’est-ce qui plaît ? Pourquoi, à la fin de ce film on a plus envie de faire du sport qu’après une de ces réclames crispantes qui passent à la radio ? Non pas un spot, mais un vrai court métrage On a envie de regarder la publicité de bout en bout pour une simple et bonne raison ça raconte une histoire ! Il était une fois une fille morose, engluée dans une vie monotone, qui rencontre un matin, en se rendant à son travail, un coureur… Aussitôt, j’ai envie de savoir et après, qu’est-ce qui se passe ? » Pas de dialogue à peine un faible bonjour » au début, pas de voix off, pas de sous titre et une bande sonore minimaliste on laisse les images parler. Puis, à la 38e seconde, les premières notes de piano de la chanson Glorious nous propulsent dans une nouvelle phase du récit. On a donc une intrigue assez classique de type boys meet girls » traité de manière originale, puisqu’on adopte ici le point de vue de la femme. Mais le véritable angle nouveau, c’est la métaphore sportive. Or, renversement final, la véritable rencontre n’est pas avec ce coureur particulier. L’homme en question n’est qu’un avatar, un symbole. Le vrai coup de foudre est avec la course à pied. La métaphore n’en est pas une. Le sport, la plus belle des rencontres. Vous pouvez prendre L’anatomie du scénario de John Truby, un des papes du storytelling, et vous retrouverez dans cette publicité les sept étapes clés de la structure narrative. » On ouvre sur la faiblesse de l’héroïne une jeune femme timide qui s’ennuie dans sa vie Elle a un besoin psychologique surmonter la routine qui la rend triste Elle a également un besoin moral retrouver un sens à sa vie Vous trouverez également le problème qui naît de la rencontre avec le coureur et souligne son insatisfaction L’héroïne a un adversaire sa condition physique, très mauvaise au début du récit Et aussi une révélation finale qui est tout bonnement le slogan Ainsi que ce que Truby appelle le nouvel équilibre » d’une introversion initiale, l’héroïne parvient à une extraversion et une vie épanouie Vous pouvez prendre la structure en 3 actes du livre Story, de Robert McKee un autre souverain pontife du scénario, et ça marche aussi. C’est scénarisé au laser. Le jeu d’acteur est très bon. Ce n’est jamais surjoué. Il y a plusieurs touches d’humour comme en plein meeting, les ciseaux effectués sous la table, ou encore le voisin qui prend les grognements dus aux abdominaux pour le son d’ébats amoureux. Le montage calé sur la chanson de Macklemore est tout simplement parfait. Au lieu d’essayer de te vendre un truc, on te parle de valeurs Et ça fait vraiment du bien. Dans la pub Nike, la naissance d’un champion », à aucun moment, vous ne voyez un produit de la marque. Et la seule paire de chaussures qui apparaît au début, ce ne sont pas des Nike. Sur les 2 minutes 24 que dure la pub Intersport, seules 12 secondes se passent dans une boutique de la marque. C’est ridiculement peu ! On ne voit même pas en détail les baskets ou les vêtements. Ce que l’on voit, c’est un vendeur souriant qui conseille l’héroïne pour qu’elle arrête de détruire ses pieds quand elle court. On voit la valeur ajoutée réelle d’un achat en boutique l’expertise et le conseil. Le message qui passe à ce moment, c’est qu’Intersport est votre allié dans les défis que vous vous fixez. Et ça, c’est du très bon marketing. Mettre l’utilisateur au centre et le produit à la périphérie Finalement, on parle des problèmes que nous rencontrons dans la pratique du sport et de la manière dont Intersport y apporte une réponse. Qu’est-ce qui se passe quand on veut se remettre au sport ? Comment surmonter la douleur et les échecs ? Comment progresser en douceur et retrouver du plaisir à se dépenser ? Vous pensez que si vous dites aux gens vous allez souffrir”, ils vont s’enfuir ? C’est tout le contraire. Car ce dont on parle finalement, à travers l’arc dramatique du protagoniste, c’est de sortir de sa zone de confort, de relever des défis, de s’accrocher. Ce qu’Intersport a fait avec cette pub, c’est de prendre des moments vécus, des expériences de la vraie vie et de condenser le tout à travers un scénario bien ficelé. La pub parle plus des sportifs, ou de ceux qui aspirent à l’être, plutôt que des vêtements de sport. Et ce qui est vraiment malin, c’est de mettre l’accent sur la valeur bienfaisante de l’exercice à notre époque où l’on veut manger et vivre plus sainement. Il ressort de tout cela une dimension d’authenticité, un parler-vrai qui est à l’opposé du baratin publicitaire habituel. Pensez-y, on aurait aussi pu vous montrer un footballeur français champion du monde qui vous dit moi, j’achète mes crampons chez Intersport. » À garder en mémoire Jennifer Aaker, professeur de Stanford, explique qu’une histoire est 22 fois mieux mémorisée que de simples faits. Et dans son infographie sur l’art et la science du storytelling, Maggie Patterson rapporte des études qui montrent que les histoires produisent dans le cerveau humain de la dopamine neurotransmetteur associé à la sensation de plaisir l’oxytocine intervenant dans les circuits de la récompense la sérotonine lié à la sensation de bien-être Finalement, ce film parle plus de ces personnes qui veulent se remettre au sport. Intersport fait de son public cible le héros de sa communication. Et c’est en cela que le storytelling fait vendre. Il permet de sortir d’un monologue égocentrique mon produit, mon produit, mon produit » soit les spots de pub classique pour placer l’humain au coeur de son marketing quel problème résout la marque et ouvrir un dialogue avec son audience. Car ce spot interroge directement ce que le sport représente pour chacun. Et il nous invite à notre tour à sortir de notre zone de confort. Et si on faisait tous de la publicité comme ça ?Cest dur de passer de 40 degrés en Espagne à 10 degrés avec de la pluie ici. J'ai l'ambition de signer un bon classement général, voire
Une récente étude menée par Médiamétrie indique que 90% des français estiment que le cinéma en salles est bénéfique pour le moral. Cela confirme l'enthousiasme du public une semaine avant la réouverture. Le cinéma, c'est bon pour le moral ! Cette phrase va sûrement vous mettre en tête le célèbre tube de La Compagnie Créole, mais elle est surtout révélatrice de cette envie des spectateurs de retrouver les salles. C'est en tout cas ce que révèle une récente étude menée par Médiamétrie et relayée par BoxofficePro. La société de mesure d’audience et d’étude des usages a posé des questions à 1021 personnes de plus de 15 ans. Pour 93% d'entre eux, le cinéma est synonyme de détente et d’évasion. 90% des sondés estiment qu'aller voir un film en salles est bon pour le moral. Quant aux 15-24 ans, ils sont 98% à le penser ! Le cinéma se hisse également en tête des sorties culturelles les plus attendues. 80% des personnes interrogées souhaitent y retourner très vite. Réouverture des cinémas quels films voir en salles le 19 mai ?"Ces résultats témoignent du goût fort, permanent et ancré du public pour la sortie au cinéma et l’expérience unique qu’elle représente", selon Marine Boulanger, directrice du pôle cinéma de Médiamétrie. "Cette envie, signe d’un retour à une vie normale, correspond à des besoins profonds des Français, encore plus marqués après une année de crise sanitaire", explique-t-elle. L'étude révèle aussi que 73% des Français veulent fréquenter les salles aussi souvent qu'avant. 12% d'entre eux se disent prêts à y aller encore plus qu'avant. Pour 57% des gens, les films d'action et d'aventure seront privilégiés. La comédie français s'en tire bien avec 51% 67% chez les 65 ans et plus. Le genre policier et thriller est également très apprécié avec 47% d'attente sur ces longs-métrages. Quoi qu'il en soit, cette soif de cinéma pourra être assouvie dès le 19 mai en salles. Encore une petite semaine à tenir ! Podcast Pourquoi les salles de cinéma nous manquent tant ?
Bienvenuesur le Topic F1 pinacle encore et toujours allemand du sport automobile mondial ! Message [] - Auteur : moihey - Page : 1940 - Pages : 18585 - Dernier message : 24-08-2022 Forum | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop : Recherche : 1710 connectés FORUM HardWare.fr Discussions Sports [ ][Topic F1] ric cola un bon coup :
par Mamie Lou le jeudi 02 sept. 2021Coup de blues 6 aliments “bonheur” pour booster votre moralPublicitéPublicité Aliment bonheur n°1 le chocolat noir Ce n’est pas une surprise, le chocolat est l’un des aliments déclencheur de “plaisir”. Même sans le dire, votre corps l’avait déjà deviné ! Le plus réconfortant et le plus sain pour la santé, c’est le chocolat noir minimum 70%. Le cacao booste la production d’endorphine et de dopamine. Il agit comme un antidépresseur naturel. PublicitéPublicitéPrécédentsuivantpar Mamie LouPublicité
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