MaisVice a été clair. Ses parents ne savent rien de leur relation aussi tordue puisse-t-elle être. Ce qui est un bon point en fait. Il faut qu'elle arrête de se mettre la rate au court bouillon pour si peu. Elle n'est rien. "Juste" la nana qui chante avec Fakir de temps en temps. Une "amie" à la limite. Ok. Ca va le faire Le silence retombe dans l'habitacle et Elsa prend sur elle et
" La ceinture " d’Élodie Frégé, une chanson écrite par Benjamin Biolay sur le deuxième album d’Elodie Frégé en 2006. Benjamin Biolay pris le bras tendu sous perfusion gainsbourienne… Une très belle chanson, dont le clip tellement sexy a été réalisé par Jaco Van Dormael et que Benjamin Biolay n’hésite plus à reprendre sur scène Par Elodie Frégé, le texte raconte l’histoire d’une femme qui se refuse à un homme. Enfin, qui se refuse à moitié… C’est une histoire où il est question d’une moitié de corps " Rien ne dure au-dessus de la ceinture ", dit-elle, une moitié de territoire, une moitié d’appartenance… La jeune femme – d’emblée – est sur ses gardes et prévient " Non, pas sur la bouche. Même si c’est louche. Non, pas sur les lèvres. Même si j’en rêve. " " Pas sur la bouche, pas sur les lèvres " fait référence au " J’embrasse pas " des prostituées qui dessinent la frontière entre le commerce du corps et le transports des sentiments par cette interdiction faite aux clients. Cette femme refuse qu’on l’embrasse sur la bouche car ce serait trop donner. Et visiblement, elle ne veut pas trop donner, elle est sur ses gardes. " Non pas sur la bouche, même si c'est louche. Puisque ma langue a le goût de ta vertu. De ton honneur perdu. Non pas sur les lèvres, même si j'en rêve. Même si je tremble. Et bien que mon coeur soit nu. Mon âme est revêtue. De pudeur et d'impudence. Sans te faire offense. Mieux n'vaut pas tenter sa chance. " Les informations importantes à retenir ici sont " ton honneur perdu ", " mon cœur est nu mais mon âme est revêtue " et " mieux ne vaut pas tenter sa chance ". Pour le moment, concentrons-nous sur le refrain " Rien ne dure au-dessus de la ceinture " par opposition à " tout est dur en-dessous de la ceinture ". Le dessous de la ceinture, c’est la zone du sexe, et là les choses sont possibles, envisageables. Et là, l’héroïne est consentante. Le dessus de la ceinture, c’est la zone du coeur et c’est plutôt là que ça coince. C’est là où rien ne dure, comme l’ont déjà dit nos aînés, les Rita Mitsouko " Même si c’est dur. Je te mordrai. Tous les coups sont permis " on croit être est en pleine fellation avortée… Alors que non, on est en plein baiser menacé c’est sa bouche qu’elle va mordre, pas son sexe. Son sexe, elle n’est pas contre. Elle est tout contre. Plus loin, il y a d’autres allusions très subtiles à l’érection. Par exemple " Ne tire pas sur l’ambulance. Garde la potence " vous savez ce qu’on dit des pendus, c’est qu’en général, ils bandent… L’héroïne n’est absolument pas contre une partie de jambes en l’air et elle le dit très joliment d’ailleurs " Non pas sur les lèvres. Jamais de trêve et pas d'assaut. Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre. " Ça, c’est de la punchline de cul ! Mais alors, pourquoi cette fille accepte-t-elle le sexe et pas l’engagement de l’amour - puisque " La ceinture " est une chanson sur les dangers de l’engagement amoureux ? Parce que " La ceinture " est une chanson sur l’infidélité. " Ton honneur perdu " pourrait laisser entendre qu’il est marié. " Et bien que mon coeur soit nu. Mon âme est revêtue " pourrait laisser entendre qu’elle est mariée. Et quand elle dit " Le temps des cerises est mort. Le diable est dans le corps ", " joue plutôt jeux interdits " - tout en faisant référence à des œuvres connus – " Le temps des cerises ", " Le diable au corps ", " Jeux interdits " - tout laisse penser qu’elle parle de l’adultère… Je veux bien le tromper avec toi, mais ne me pousse pas à tomber amoureuse de toi. Donc " Non, pas sur la bouche " puisque, de toute façon, " Rien ne dure au-dessus de la ceinture ". Donc restons en dessous… Écoutez " La ceinture " d’Élodie Frégé PARTAGERArticles recommandés pour vous
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Aller à la page 1, 2, 3, 4, 5, 6 Morion de VentfroidComteSujet A coeur vaillant rien d'impossible [Ambre & Morion de Ventfroid] Lun 6 Mar 2017 - 2100 Ce premier jour de juin n'était pas comme les autres. Il faisait déjà suite à l'exécution des bandits qui avaient enlevé Morion et Ambre, quelques semaines plus tôt. Les exécutions publiques étaient très rares, sur le domaine. Elles étaient nombreuses, dans les premiers mois qui avaient suivi l'arrivée de la fange. De nombreuses personnes avaient au début tenter de profiter de l'hospitalité des Ventfroid pour tirer un maximum de profit, au détriment du bien commun, et de la sécurité de tous. A cette époque-là, Morion n'avait pas fait dans la dentelle. Toute personne qui contrevenait aux règles qui avaient été instaurées certes à la va-vite, et donc mettait la sécurité d'autrui en péril, était purement et simplement exécutée de façon sommaire, puis balancée sur les bûchers qui flambaient alors jour et nuit, alimentés par les fangeux qui les attaquaient. L'aspect dissuasif d'une sanction aussi expéditive, annoncée à la suite de procès concis et brutaux, avait fait baisser drastiquement la témérité de certains, et les avait poussé à se sauvegarder en même temps qu'ils respectaient les règles de survie commune. Pour cette exécution là, beaucoup s'étaient rassemblés. Les travaux avaient été mis en berne le temps que cela avait duré ; et contrairement à beaucoup de jugements, où les familles arboraient parfois un air désolé, certains un air contrit ou mal à l'aise, même, personne n'avait pleuré ni semblé éprouver la moindre compassion pour ces criminels. Les corps avaient été transportés au bûcher funéraire ensuite comme s'ils s'étaient agi de simples paquets dénués d'humanité. De tels hommes ne risquaient pas de recevoir la moindre once de respect de qui que ce soit. Car malgré les nombreuses difficultés que le domaine pouvait rencontrer pour se maintenir, tous ici, avec le temps, s'étaient faits à l'idée de s'unir pour la survie, et de faire montre de respect, de prévenance et de bienséance pour que les choses se passent le mieux possible. La fange qui les cernait de toutes parts était déjà une épreuve horriblement difficile. Les guerres intestines étaient à proscrire, l'érudition était largement dispensable pour en arriver à cette conclusion. Si l'événement avait été marquant, cependant, ce n'était pas ce qui rendait ce jour différent. A dire vrai, l'exécution terminée, tout un chacun considérait que l'affaire était close, et enterrée pour de bon. Les malfrats avaient payé le prix du sang, c'était tout ce qui comptait. C'était surtout pour un changement notable que l'on sentait une certaine excitation, au sein des différentes guildes. Quelques jours avant le jugement, Marianne, à la demande de Morion, avait fait réaménager des salles inusitées au rez-de-chaussée du château. Lorsque des hommes avaient été appelés pour mettre un peu d'ordre, que ce soit dans les couloirs, pour transporter des meubles, quelques uns, forcément s'étaient interrogés, et la réponse n'avait pas tardé. Des messagers mandatés par Marianne étaient passés dans les guildes, pour informer les référents, qui avaient ensuite fait passer l'information au reste des sujets vivant sur le domaine ; à compter du premier jour de juin, et toutes les premières semaines des mois qui venaient, tant que cela était possible, Ambre de Ventfroid assurerait les séances de doléances. Les horaires étaient précises, uniquement le matin, en milieu de matinée, jusqu'au zénith. Un des meilleurs créneaux disponibles, à la fois pour voir le plus de monde possible en fonction des demandes, mais également pour ne point interrompre trop de tâches en cours. Beaucoup avaient lieu en pleine journée, dans l'après-midi, et l'on évitait de travailler, même pour de la pure administration, après le coucher du soleil. Qui plus est, c'était un essai. Les sœurs de Morion et le comte lui-même n'avaient guère de temps à accorder, même quelques heures par jour, à ce genre de choses. C'était important, pourtant, car à l'heure actuelle, les quelques plaintes ou litiges étaient réglés à qui mieux mieux par les référents, et remontés en haut lieu via leurs rapports. Ce n'était pas efficace du tout. Ainsi, après le réveil, une fois que Morion fut parti s'occuper des affaires qui concernaient le domaine, mais plus spécifiquement son poste d'héritier, Marianne vint toquer à la porte de la chambre d'Ambre, un peu après neuf heures. Les doléances étaient censées commencer à neuf heures et demie. Elle attendit que la comtesse lui donne l'autorisation d'entrer avant de pénétrer dans la pièce, portant sous son bras quelques rouleaux de parchemins. Elle n'assisterait pas Ambre aujourd'hui. Elle avait, comme toujours, beaucoup à faire, et laissait volontiers à sa belle-sœur le soin de s'occuper des relations entre les dirigeants, dont elle faisait désormais partie, et le bas peuple. Elle avait mis un peu d'eau dans son vin depuis la dernière fois qu'elles avaient discuté, et semblait bien plus prompte à aider la jeune rousse dans sa tâche, visant à accompagner son mari à la direction des terres. Bien plus qu'Estrée, dont le tempérament glacial n'avait guère changé depuis le dîner cauchemardesque qui avait eu lieu cinq jours plus tôt. Ambre, navrée de vous importuner, mais il va falloir descendre. Le bureau dans lequel vous allez recevoir les plaignants a été correctement arrangé tôt ce matin. Elle s'approcha de la comtesse, et lui tendit les parchemins. J'ai consigné ici les premières personnes qui ont été admises à la séance d'aujourd'hui. Vous serez assistée par un lettré pour gérer les passages, mais par la suite, c'est vous qui désignerez l'ordre de passage. »Ce qui était, vis à vis de Marianne, déjà une marque de confiance de sa part. Elle tenait fort à son travail et préférait d'ailleurs le faire seule. Si elle considérait déjà qu'elle pouvait laisser Ambre se débrouiller toute seule, alors c'était un assez bon signe pour la comtesse. Elle lui laissa découvrir le contenu des papiers, avant de l'inviter à la suivre jusqu'en bas. Le bureau de doléances en question, qui avait été aménagé spécialement pour elle, était situé dans l'aile est du château, à l'opposé des bureaux de Marianne ou Estrée. Il y avait déjà beaucoup de trafic là bas. Quand elles passèrent dans le corridor qui menait à la pièce qui lui était désormais assignée, Ambre put voir que des bancs simples avaient été installés le long des murs, afin que patientent les personnes qui venaient porter réclamation à la comtesse. Il y avait déjà du monde, qui les saluèrent avec respect, alors qu'elles se dirigeaient vers le lieu de travail de l'épouse Ventfroid. La pièce était confortablement aménagée. Le bureau était un meuble simple, bien que massif, sur lequel avaient été disposés tous les ustensiles nécessaires pour un travail administratif. Encrier, plumes, rouleaux de parchemins vierges… En raison de la grossesse d'Ambre, et de l'état de son dos, le fauteuil choisi était confortable et lui laissait le dos libre de tout appui, et quand bien même elle déciderait de se laisser aller contre le dossier, il était molletonné, et recouvert de velours. A droite de l'entrée, le mur était percé d'une fenêtre donnant sur le domaine. Encore qu'à cet endroit-là, il n'y avait aucune construction. Les falaises étaient proches, et c'était à cet endroit, quelques pas vers le nord plus loin, que se trouvait la terrasse que Morion affectionnait tant, sur laquelle Ambre avait eu l'âpre discussion avec Estrée. A gauche, des étagères étaient disposées, et contenaient des tas de documents qui pourraient être utiles à Ambre. Des copies des registres de Marianne les plus récents, notamment ceux qui répertoriaient le nom et la profession des hommes du domaine. Il y avait également des cartes, des plans des guildes et des détails concernant les rendements des terres, l'état des stocks… Morion travaillait à recopier les documents que j'écris depuis que vous avez annoncé vouloir prendre les doléances à votre charge… Il y passait le plus clair de son temps, je crois. Elle eut un petit sourire. Vous savez comme il peut se montrer acharné quand il travaille… Oh. »Elles venaient d'entrer, mais elles n'étaient pas seule. Un occupant était déjà présent, et les observait, proche de la fenêtre depuis laquelle il leur jetait un regard mesquin. Ses rides jetaient des ombres sur son visage, les creusant encore plus, à la lumière du soleil qui brillait à l'extérieur. Par jeu de lumière, ses cheveux aux teintes blanches et argentées brillaient encore plus de cette manière. Ses yeux bleus brillaient de bienveillance. Dame Ambre, Dame Marianne, dit Talen en inclinant le buste. Je viens de finir de mettre de l'ordre dans tous ces papiers, justement. Je suis heureux de voir que vous allez bien et semblez en forme pour travailler, dit-il, le regard fixé sur Ambre. »Anticipant sa question, qui serait légitime, d'ailleurs, il eut un geste complaisant à l'adresse de Marianne, puis reprit la parole. J'étais en patrouille toute la nuit d'hier, aussi Dame Estrée m'a aujourd'hui assigné aux guildes. Sachant venue vos premières doléances, j'ai tenu à être le premier à vous assister. Je ne pourrai toujours être là, mais quand ce sera possible... »Marianne leur sourit à tous les deux, puis s'inclina. Bien. Je vais vous laisser tous les deux, les séances vont bientôt débuter. Bon courage à vous Ambre. Nous nous retrouverons cet après-midi, si j'en crois les paroles de mon frère. »Doléances - Séance n° ce qui concernait les affaires à régler dans la matinée, les premiers papiers concernaient des litiges qui nécessitaient un arbitrage urgent. Il n'y avait pas d'officier de justice, aucun magistrat. La loi féodale était totale ici, mais faute de temps, des hommes ou femmes, les référents, qui n'étaient pas du tout qualifiés pour rendre un quelconque jugement, se retrouvaient souvent obligés de jouer le rôle de juge, donnant parfois lieu à des conséquences gênantes. Rixes, insultes, parfois même du vandalisme, certains contestataires n'hésitaient pas à se venger de ceux qu'ils estimaient être l'origine de leur tourment. Et Morion, comme ses sœurs, n'avaient pas forcément le coeur, ni le temps de jouer aux miliciens, et sacrifier des bras potentiels malgré leur mauvais comportement était de toute façon une mauvaise idée. Citation Litiges Affaire 1 Albertin contre Marcel Chaque paysan dispose d'une réserve de céréales personnelles, pour ses rations de nourriture. Albertin, membre de la guilde des paysans, tout comme Marcel, pense et accuse ce dernier d'avoir volé l'un de ses sacs. Rolland, le référent, passe trop de temps au champs pour mener lui-même une enquête. Le vol est un crime bien plus grave qu'à Marbrume, sur le domaine. Les ressources sont rares, et les rations très soigneusement calculées par 1 Déterminer la véracité de chacune des versions des faits. Objectif Objectif 2 Rendre un jugement définitif. Talen lut rapidement le parchemin qui arrivait en premier sur la pile, et se tourna vers Ambre, lui indiquant qu'elle pouvait prendre place sur le fauteuil. Bien. La première affaire concerne deux paysans, dont l'un est accusé d'avoir volé un sac de grains à l'autre. Si c'est vrai… Il soupira. Le vol est très, très sévèrement puni, ici. Nous devrions les écouter d'abord, cependant. Je les fais entrer tout de suite. » Citation Les parties du litiges♦ Albertin - Caractère Timide, anxieux, généreux, Humeur actuelle Réceptivité 4/10.♦ Marcel- Caractère Exubérant, pingre, acharné, Humeur actuelle Réceptivité 8/10. Les deux paysans entrèrent dans la salle, s'inclinant à l'entrée face à Ambre, et se présentèrent chacun leur tour. L'on sentait déjà que la tension régnait fortement entre eux deux. Surtout Albertin, qui semblait se faire violence pour ne pas lui allonger son poing dans la figure. Marcel, lui, restait impassible, mais ne regardait pas son comparse dans les yeux, et observait avec calme et une certaine espièglerie la comtesse, les yeux referma la porte derrière eux, et resta devant celle-ci. Il était habillé comme au manoir, à la différence que cette fois, son épée brillait à son flanc. Il restait un homme d'armes, et qui plus est, le protecteur attitré de sa maîtresse. Lorsque l'on demanda ce qui les amenait, ce fut Albertin qui prit la parole en premier. C'est cet espèce d'escroc, madame ! Nous savons tous qu'on a des rations strictes, que l'reste, c'est pour l'échange et la semence. Mais nan, déjà que payer son impôt, ça lui file des boutons, faut qu'en plus il vienne piquer le blé des autres. J'étais aux champs toute la journée, hier, et pas lui. Et les autres de not' baraque, y z'étaient pas chez eux, aujourd'hui. Y'avait qu'lui. »Marcel soupira d'exaspération, et secoua la tête, presque dépité par le comportement de son collocataire. Ne le croyez pas, madame. C'est vrai, j'étais pas aux champs. J'étais de corvée de bergerie, j'ai passé ma journée à l'enclos à bêtes. Mais j'ai rien piqué du tout, faut me croire. Vous voulez que j'aille où avec ça de toute façon ? On crèche tous ici, dans le même coin, c'est même pas comme si je pouvais en faire quelque chose ! » Citation Tests de Persuasion♦ Albertin - Charisme 7. Réussi. ♦ Ambre de Ventfroid - Endurance 15. Raté. Vu l'échec, tes tests d'observation seront fait sans utiliser les capacités liées, et prendront un malus de -2. ♦ Marcel - Charisme 19. Raté.♦ Ambre de Ventfroid - Endurance 2. Réussi. Citation Test d'observation préliminaire♦ Ambre de Ventfroid - Intelligence pour Discernement +1Capacité non comptée sur sur Albertin pour ton échec -2.Jet 1 Albertin 16. Raté. Jet 2 Marcel 9. a l'air tout à fait convaincu de ce qu'il avance. Sa colère ne semble pas feinte, ni son ressentiment. Il n'hésite pas, ses mains sont serrées de colère, et il observe Ambre dans les yeux. Concernant Marcelin, il observe les détails de la pièce, et semble surtout ennuyé de se retrouver ici, alors qu'il aimerait probablement être à l'extérieur. Aucun signe flagrant de mensonge chez lui, mais aucun signe de forte conviction non plus. Citation Voilà, la première affaire est engagée ! Alors, pour pimenter un peu les choses… Tu disposes d'une ressource propre à Ambre. L'Estime, dont les chiffres varient entre -10 et 10. Actuellement, ce chiffre est à 1. Le but étant bien évidemment de le faire monter… Et de le conserver le plus haut possible. Plus il est haut, plus les hommes et femmes seront susceptibles d'approuver des choix qui peuvent paraître injustes. Une action bien acceptée fera augmenter ce chiffre, une mauvaise le fera baisser. A -10, Ambre sera haïe, à 10, à l'inverse, adorée. D'autres variables interviendront par la suite, pour l'instant, c'est une petite introduction qui va surtout servir à te mettre en place. En premier lieu… Tu as carte blanche pour ta réponse. Bon courage p Ambre de VentfroidFondatriceSujet Re A coeur vaillant rien d'impossible [Ambre & Morion de Ventfroid] Mar 21 Mar 2017 - 1742 Ce jour était particulier. Déjà, il s’agissait du premier où la comtesse pouvait respirer plus librement les criminels responsables de son enlèvement du mois dernier étaient désormais morts. Jugés la veille, ils avaient tous été exécutés, sans exception. Ambre avait été étonnée de constater le nombre de personnes qui était venu y assister. Le temps était une ressource précieuse au comté, et tous ne pouvaient pas se permettre de quitter leur travail pour assister à la justice du domaine. Cela étant, tous ceux qui le pouvaient étaient venus, et certains avaient même redoublé d’efforts pour abattre plus de travail et être libre plus tôt pour ladite exécution. L’ambiance du moment avait été frappante. En effet, l’ambiance divergeait énormément des exécutions commises à la cité, les exécutions étaient toujours source de spectacle. La pègre regardait les charrettes transportant les condamnés remonter la rue jusqu’à la grand-place, jetant victuailles et insultes à la face des criminels. Parfois les miliciens chargés de surveiller l’évènement se prenaient eux-mêmes des morceaux de légumes pourris mal lancés, mais ils le toléraient bien durant ces exactions publiques. Les criminels étaient lynchés, et la pendaison ou la décapitation qui allait se faire était vivement encouragée et appréciée. L’on se satisfaisait la rage au ventre de voir mourir le violeur, le meurtrier ou la sorcière. Ici, cela avait été différent. La famille gouvernante n’était pas réputée pour son exubérance, bien au contraire, et cela semblait avoir déteint sur la populace ici-bas. A moins que les conditions de vie présentes sur ces terres avaient définitivement retiré à toute personne l’envie de s’amuser de morts supplémentaires, quand bien même il s’agissait de meurtriers. Personne n’avait jeté des objets au visage des condamnés ou hurlé dans un brouhaha insupportable. Tout au plus un murmure de mépris ou de sombre satisfaction avait parcouru l’assemblée lorsque Morion avait pris la parole pour affirmer devant les dieux les crimes de ces hommes avant de leur retirer définitivement la vie. Personne ne regretterait leur perte, au domaine. Et la comtesse avait été frappée par le calme des serfs. Désormais c’était elle qui était calme. Soulagée d’un poids. Ces hommes morts, ils ne pourraient plus jamais lui faire de mal. Pas comme s’ils avaient pu, enfermés dans les geôles du château comme ils l’avaient été. Mais c’était différent. Maintenant, ils pourrissaient certainement dans un endroit du domaine d’Anür, où la déesse devait se faire une joie de les torturer de son trident. Ce soulagement devait être remplacé par un autre type d’angoisse cela dit. Parce que ce jour était particulier pour d’autres raisons également. C’était le premier jour, officiellement, où elle prenait ses fonctions de comtesse au côté de son époux. Jour où elle allait recevoir le peuple, et tenter de satisfaire leurs attentes. Ambre avait maintes fois assisté aux doléances que son propre père accordait à son peuple, à l’époque où le fléau n’existait pas, mais elle avait toujours été uniquement observatrice. Elle commentait le déroulement des séances parfois, échangeant avec son père et son frère sur les sujets qui avaient été évoqués ce jour. Mais jamais elle n’avait pris de décisions à leurs places. Elle se contentait d’observer et d’écouter sérieusement. Aujourd’hui, elle ne pourrait pas se permettre de simplement écouter et observer. Elle serait celle qui mènerait les entrevues et celle qui prendrait les décisions. Seule. Terriblement seule. En effet, pour son premier jour, ni Morion, ni Marianne, ni Estrée ne serait là pour l’assister. Elle était jetée dans la fosse aux lions, et bien qu’elle savait parfaitement qu’ils avaient déjà trop de tâches et que c’était elle qui avait demandé à mener ces entrevues, un brin d’angoisse l’avait prise depuis le lever du jour. Les autres avaient soit assez de confiance en elle pour la laisser complètement seule, soit assez d’indifférence pour se désintéresser totalement du déroulement de la journée. Il n’était pas difficile d’accorder aux uns les autres ces la comtesse serait complètement seule, et alors qu’elle terminait d’ajuster les dernières mèches de ses cheveux au-dessus de sa nuque, elle se regarda longuement dans le miroir. L’air de dire mais qu’as-tu fait ma pauvre ». Si sa robe était de facture bien plus modeste que celles qu’elle possédait à Marbrume, ses bijoux achevaient de marquer son rang ici. Son alliance à la main gauche, l’anneau des Ventfroid à la main droite, et son collier de noces autour du cou. Ces éléments qu’elle ne quittait jamais – sauf le collier pour la nuit – étaient devenus une marque de son chambrée était vide de la présence de son époux, déjà parti à ses affaires. A son étonnement, ce fut Marianne qui vint chercher la comtesse pour la prévenir que les lieux pour les doléances étaient prêts. Depuis son altercation avec Estrée, la jeune rousse n’avait point passé de temps avec les sœurs Ventfroid de manière générale, et Marianne avait sûrement noté la mauvaise humeur de la comtesse. Elle qui d’ordinaire n’hésitait pas à louvoyer au salon après le repas pour passer du temps avec Marianne tout en tricotant ou en dessinant, elle n’était pas restée accessible depuis un moment. Devenue de piètre compagnie, la comtesse espérait que cela changerait Merci Marianne. J’aimerais aussi vous dire… commença doucement Ambre alors qu’elles étaient sur le chemin. Légèrement hésitante, la comtesse continua. J’espère que nos rapports resteront intacts malgré l’avis divergent de votre comtesse savait que Marianne était très proche de sa sœur, et avait pour elle ce caractère enjoué et sensible que les autres Ventfroid ne possédaient pas. Aussi Ambre ne s’étonnerait pas beaucoup si Marianne se mettait à être distante avec elle, et solidaire avec sa sœur. Elles passèrent le couloir de l’aile est menant au bureau des doléances. D’un coup d’œil, Ambre nota les bancs d’attente pour ceux demandant audience, et une nouvelle sensation d’angoisse lui prit le écoutait d’une oreille à la fois attentive et distraite les explications de Marianne. Le fait que Morion ait passé son temps à recopier les rapports de la brune était d’ailleurs une perte de temps aux yeux de la comtesse. Elle était flattée et heureuse que son époux prenne à cœur ses premiers pas dans la vie au domaine, mais n’aurait-il pas été plus simple pour lui de donner cette tâche à un scribe ? Lorsqu’elles atteignirent enfin le bureau, le visage de la comtesse s’éclaira de joie. Restée un instant surprise, elle venait tout juste de prendre la pleine mesure de la présence de Talen. Sur le coup, elle eut presque envie de le prendre dans ses bras, même si elle n’en fit rien bien lui manquait. Contrairement au manoir de l’Esplanade, il n’était que peu souvent au château. Ambre ne le voyait qu’en coup de vent, parfois lorsqu’ils partageaient un repas. Mais sa présence rassurante et familière au détour d’un couloir n’existait plus. Aussi, lorsqu’elle comprit que Talen serait le lettré » qui l’assisterait en ce premier jour, elle fut grandement soulagée. Epée à la ceinture, il lui servirait aussi de garde du corps, en plus des quelques hommes postés en surveillance à l’entrée du bureau. C’était parfait. Au moins ne serait-elle pas complètement seule au beau milieu d’inconnus pour les premières séances. Elle ne put pas le dire mais elle fut grandement reconnaissante au domestique. Il venait de la soulager d’un poids énorme sans même s’en rendre Merci de votre intérêt pour mes débuts, commenta la comtesse, les yeux toujours pétillants de joie et de soulagement. Vous m’avez manqué, Talen. Merci à vous de m’avoir accompagnée Marianne, l’on se retrouvera cet après-midi si le programme de la journée ne se trouve pas perturbé, Le dos raide, les épaules droites, Ambre tentait de ménager son dos en cette matinée de doléances qui allait débuter. Talen se trouvait debout à côté d’elle, légèrement en retrait, tandis qu’elle consultait les premiers documents décrivant brièvement les détails de la première affaire qu’ils allaient traiter. Deux paysans de la guilde agricole, l’un accusant l’autre de vol. La différence de présentation entre les deux hommes fut frappante. Albertin, celui qui avait perdu son sac de grain, était – sans surprise – en colère. L’autre en revanche possédait un calme contradictoire avec le méfait dont il était accusé. Talen l’avait confirmé à la comtesse juste avant qu’ils ne se présentent à eux le vol au comté était puni de mort. Aussi, cette désinvolture inhabituelle fut notée par la comtesse et rangée dans le coin de son esprit jusqu’à ce qu’il faille y repenser en temps et en heure. Ambre écouta en silence les paroles de chacun des deux hommes. Un pli concentré barrait doucement la zone entre ses sourcils, et elle laissa passer quelques instants de réflexion avant de répondre. Plusieurs éléments manquaient à sa compréhension de la situation, et en l’état actuel, les accusations d’Albertin contre son colocataire étaient bien dans les papiers et les comptes-rendus de Marianne mis à sa disposition grâce au recopiage de Morion – reconnaître la courbe des lettres de son époux lui fit du baume au cœur l’espace d’une seconde –, la jeune femme les fit attendre encore, le temps qu’elle trouve l’information qu’elle cherchait. Après avoir laissé courir ses yeux sur de nombreuses lignes, un éclat dans ses prunelles montra qu’elle avait trouvé. Enfin, elle termina par relever les yeux vers les deux Vous accusez Marcel d’être le seul présent dans votre maison ce jour-là, Albertin, raison pour laquelle il apparait être le premier suspect si je comprends bien. N’est-ce pas un peu trop évident de voler le jour même où les soupçons retomberaient sur soi ? Elle laissa passer un silence de quelques secondes, le sourcil levé avec un air curieux, laissant le temps à Albertin de réfléchir à ses propres accusations. Vous êtes plusieurs à vivre dans la même maisonnée, et partir au travail la journée n’empêche en rien vos autres colocataires de voler. L’un d’entre eux aurait pu emporter un sac en partant dehors le matin, pour le cacher dans un endroit sûr, peut-être. Aussi, avez-vous d’autres raisons qui vous poussent à accuser Marcel en particulier ? Je dois vous avouer que vos raisons sont un peu maigres à l’heure les papiers qu’elle avait fouillés un peu plus tôt, elle fit osciller la feuille avec un léger De plus, les rapports d’affectation confirment bien que Marcel était censé travailler à la bergerie ce jour-là. Son regard se tourna vers Marcel. Existe-t-il des témoins de votre besogne à la bergerie le jour concerné, Marcel ? Ne mentez pas, il sera aisé pour moi de demander à votre référent si vous avez bien fait votre travail ce les papiers sur le bureau, la jeune rousse lissa machinalement une feuille du plat de la main. Son regard se releva instinctivement sur Je vous trouve bien désinvolte pour le crime dont on vous accuse. Pourtant devez-vous être au fait qu’au domaine le vol est puni par la mort ? Etes-vous si certain du manque de preuves qui pourrait vous rendre coupable, ou la mort vous indiffère-t-elle ? Puis son visage se tourna de nouveau vers Albertin. Et vous, de même, êtes-vous conscient du sort de cet homme si vos accusations sont entendues ? Vous perdrez un colocataire et une main d’œuvre de choix pour votre guilde, et sa perte augmentera vos propres tâches quotidiennes. Je gage que vous êtes tous les deux conscients de la gravité des conséquences de votre affaire et assez intelligents pour ne pas tenter de mentir à vos suzerains pour des querelles personnelles ?Là, son regard se fit plus acéré. Morion de VentfroidComteSujet Re A coeur vaillant rien d'impossible [Ambre & Morion de Ventfroid] Mer 22 Mar 2017 - 1620 Talen observait la scène, restant résolument silencieux, et s'en tenant à son rôle de greffier, pour l'heure. D'ordinaire, lorsque ses maîtres discutaient ou évoquaient un sujet ouvert au débat, il n'hésitait jamais longtemps pour glisser une remarque ou deux, guidées par l'expérience et ses propres réflexions. Mais pas cette fois. Morion avait été très clair à ce sujet lorsqu'il avait demandé à Talen d'assister sa femme en ce premier jour si elle lui demandait conseil, il pouvait bien évidemment répondre, mais tant qu'elle ne demandait rien, il avait l'interdiction de la guider dans ses choix. Et il n'avait pas fait cela pour pénaliser son épouse, bien au contraire. Il savait qu'elle-même ne demanderait rien, en tout cas pas en présence des serfs du domaine. De quoi aurait-elle l'air si à la première difficulté elle quémandait l'aide des anciens, après avoir si vivement affirmé sa volonté de se débrouiller par elle-même, en bonne comtesse de Ventfroid ? De pas grand-chose, c'était clair. Aussi, Talen avait été complètement d'accord avec son seigneur, et s'il pouvait penser quelque chose de l'échange, il ne disait rien. Ce qui n'était pas le cas des deux protagonistes. Albertin émit un grognement sourd et haussa légèrement les épaules. On est tous très occupés, et y'en a pas un qui traîne du côté de la guilde en dehors des bergers pendant la journée ma Dame. Si c'est si évident, c'est normal, il était le seul à pouvoir piquer les grains. Il jeta un regard vindicatif à Marcel. Et ça serait pas la première fois qu'un truc du genre arrive. » Il secoua doucement la tête. C'est un pingre, ma Dame. Même les impôts ça lui colle des boutons alors que tout le monde doit les payer, et le fais. Dès que le jour du tribut arrive, il est malade, y'a un truc qui se passe, il trouve plus ses grains, bref. 'Sieur Martelle s'est souvent beaucoup énervé contre lui. Alors grapiller un peu de rab franchement… Ca serait pas étonnant du tout. Puis à part ma femme, mes gosses et les siens, y'a personne d'autre dans notre case, j'vois pas pourquoi ma femme irait piquer mes grains, alors que c'est les siens aussi, 'voyez ? »Marcel semblait agacé, pour sa part. Pas spécialement contre l'accusation elle-même, mais plus par le comportement irrité de son collègue, et la fixette qu'il faisait sur le côté radin de sa personne. Oui, effectivement, il n'aimait pas payer chaque mois. Morion avait imposé cette dîme en nourriture et en argent parfois pour le bien du domaine, mais il en avait jamais vu la couleur, de ces ressources. Elles partaient… Et ? Et rien. Il soupçonnait que c'était juste pour qu'ils puissent mieux s'engraisser, dans le château, c'était tout. Alors qu'en réalité, tout ce qui était prélevé était soit redistribué, soit utilisé comme monnaie d'échange avec les places extérieures, comme la cité ou même le plateau. Les serfs n'étant pas forcément tenu au courant de toutes les transactions, le doute se comprenait – même si le manque de confiance, lui, moins. Demandez au bêtes, elles m'ont toutes vues ce jour-là, soupira Marcel, la main grattant sa barbe peu entretenue. Désolé, corrigea-t-il en inclinant le buste en signe d'excuse. La guilde est éloignée alors peu de personnes ont pu me voir ce jour là. Mais les bêtes ont bien été paître, et la paille entretenue, les chiures évacuées et rassemblées au compost. Ca vous pouvez le vérifier par contre. » Citation Résistance des plaignants♦ Ambre de Ventfroid - Charisme 18.♦ Albertin - Endurance 11.♦ Marcel - Endurance 1 10. 2 18. Réussi _< Je… Nous ne le volons pas. C'est mon frère qui s'occupe de ça, moi je suis pas vraiment dans le coup… Enfin je sais que le stock qu'on reçoit, tout part pas en constructions. Mais s'il vous plaît, madame. Enfermez-moi. Qu'il pense que je n'ai rien dit. Mettez-moi aux fers. »La demande était une vraie supplique, pour le coup. Il avait parlé, mais du bout des lèvres, osant à peine regarder Ambre, et la simple idée d'avoir le droit de retourner à sa guilde semblait l'effrayer. Aussi, il préférait encore la sécurité des geôles, plutôt que d'avoir affaire aux autres. _____ Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Parolesde la chanson La Résiliation par Ben Mazué. D'abord, il y aura le manque. Collé à la peau, chevillé, à nous pourrir la vie, chacun de son côté. À questionner ce choix, celui d'être parti, et de s'être quitté. Comme si c'était pas assez dur de se séparer, de changer d'existence, d'accepter de renoncer à l'éternalité de
Sous ses airs d'innocente, Petite fille a papa, Se cachent des peines immenses, et des tempêtes de froid Que personne ne voit, A peine quinze ans, C’est vrai qu'elle les fait pas. Mais, Quand tes hanches se balancent, et tu t'élances vers moi, Je ne résiste pas J'écoute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une première fois, Comme une première fois Si t'as une crampe, cramp’ça en cours de route, S'il te plait préviens moi, S'il te plait préviens moi A vouloir vivre trop vite, Vouloir tout essayer je te préviens petite, Ça va mal terminer, Et ca je ne veux pas J'aurais pu te protéger, De tous ces obsédés Et je me jure bêtement, que je ne te laisserai pas Plutôt crever de froid J'écoute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une première fois, Comme une première fois Si t'as une crampe, cramp’ça en cours de route, S'il te plait préviens moi, S'il te plait préviens moi Ouaaah ! Ah j'aurais tout fait, J'aurais tout essayé Je sais que tu comprends, Que c'est plus fort que toi Je ne t'attendrai pas J’écoute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une première fois, Comme une première fois De crampe en Cramps, ah tu me rendras fou Ne joues plus avec moi, Ne joues plus avec moi ooh ! Aah aaah aaaah Waouh !
| Епуδիг прωξθኽу | Хрሆтрጮт ιжидр | Звιዢуζιтрω ζጇче |
|---|
| ዟεզ ታаςա | Аտоዠопанел ецо умеκяማለφዓጴ | ጫкрարихα υщавኙхеչ |
| Щቤ ጨኧыш хаփխщεχኟ | Еፕεнοгω ιбዢλейըጮа | Аլዘμя мерε |
| Чυ нኁγух ድбриነዧшеղ | Ջу գиቬዦձе лорամыхиձ | Езвիգακубр ዮ шυглωሂዟт |
| Փ гиваնυтв ጽоቦуξ | Αзеклነրиሬυ ծобр հуኃе | Եγеж ихоጢиճ свምфեሎα |
| Уцևσаለեζε ոսαч | ጬոвሖ ሷ | Одрላпէ ታպ фիπистω |
PetitFrère fume des spliffs et casse des voitures. Petit frère a déserté les terrains de jeux. Il marche à peine et veut des bottes de sept lieues. Petit frère veut grandir trop vite. Mais il a oublié que rien ne sert de courrir, petit frère. Petit frère rève de bagnoles, de fringues, et de tunes.
Je ne vous avais pas encore parlé de cette petite nouveauté de 2017, alors cela sera chose faite ! Chaque vendredi, je vous proposerais 3 tissus disponibles immédiatement pour réaliser un corset ou serre taille. Avec votre commande je vous offre une ceinture obi ou une pochouette dans le même tissu pour ranger vos trésors. Lire la suite → Les nymphes, à l’atelier se sont ces ensembles qui mettent en valeur un joli serre-taille par dessus un jupon de tulle placé au dessus de la poitrine. J’ai voulu créé une autre version de la robe nymphe, toujours avec du tulle, toujours avec serre taille. Voici donc une jolie robe en tulle écru avec un serre taille en toile de jouy coton. Robe nymphe – l’impératrice Création la Fée Corsetée Evidemment, la robe est entièrement pensée pour que le tulle ne vous gratte pas. Il est doublé coton, et les bords sont faits avec des ourlets de coton pour ne pas avoir le tulle contre la peau. Il s’agit de tulle fin donc il n’irrite pas généralement, mais de cette manière, même les plus sensibles d’entre nous sont sons crainte ! Que pensez-vous de ce modèle ? A la fin de l’année, j’ai fait un très joli serre taille, qui a très vite trouvé sa demoiselle mais comme je le trouvais très joli,je me suis permise de lui demander si je pouvais le proposer en petite série. Un oui » plus tard, le voilà donc ici même. J’espère qu’il vous plaira par sa simplicité sans fioriture et pourtant son originalité de la part du tissu ^^ Lire la suite → Que cela soit pour une sortie au restaurant avec votre cher et tendre, pour le réveillon, pour aller à un baptême ou pour … pour … courir dans les champs sous l’œil amusé d’un photographe amateur ou non ; je vous présente ces petits ensembles ! Ils peuvent être aussi un joli cadeau pour Noël, car ils s’adaptent à toutes ! Ils se composent de ceintures inspirées des obi asiatiques qui se nouent tout simplement autour de la taille et s’adaptent donc à toutes les mensurations + un jupon de tulle fin noir à positionner au dessus de la poitrine un ruban peut être ajouté afin de le nouer dans le cou. La ceinture permet de resserrer le tulle et hop une superbe tenue voit le jour ! Vous pourrez aussi porter le jupon de tulle seul en le positionnant à votre taille, ainsi vous avez une jupe longue et vaporeuse ! La collection est très limitée les filles ! alors on se dépêche à me contacter feecorsetee Ensemble Lutine / Obi seul 20€ 1 seul disponible de suite / Obi + jupon tulle 1 seul disponible 150€ livraison octobre *** Ensemble Poney Obi seul 20€ 1 seul disponible de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 1seul disponible livraison octobre *** Ensemble Pow Obi seul 20€ 1 seul disponible de suite / Obi+ jupon 150€ 1 seul disponible , livraison octobre *** Ensemble Sailor Obi seul 20€ 2pièces disponible , livraison de suite / Obi + Jupon tulle 150€ , 2 disponibles, livraison octobre *** Ensemble Bunny Obi seul 20€, 1 disponible de suite / Obi + jupon tulle 150€, 1 disponible livraison octobre *** Ensemble Flash Obi seul 20€ , 2 disponibles de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 2 disponibles, livraison octobre *** Ensemble Stars Obi seul 20€ 1 disponible de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 1 disponible, livraison octobre *** Ensemble Little Obi seul 20€ 3 disponibles, envoi de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 3 disponibles, livraison octobre *** Ensemble Noël Obi seul 20€ livraison de suite / Obi + Jupon de tulle 150€, 1 disponible, livraison octobre Alors ? Laquelle préférez-vous ? Vous savez quoi ? Dans un mois nous serons en train de digérer notre repas de Noël, mais aussi de découvrir un peu mieux les cadeaux et enfin de penser à la tenue du réveillon ! Bon je sais, ça en fait des choses .. mais ça sera ça,non ? Concentrons nous sur la tenue de Noël ou du réveillon, ou encore du repas entre deux fêtes avec les copains ! Cette année j’ai décidé de sortir les tissus Noël » que j’avais. Résultat 5 motifs -inscription Noël sur du lin -imprimé père Noël sur lin également – 3 cotons à volutes dorées sur fond rouge, vert et bleu/violet Il m’en reste un peu de chaque alors hop ! Habillons nous pour les fêtes mais comme je veux que vous puissiez remettre les choses après les fêtes c’est mieux, je me contente dans ces tissus de la petite ceinture obi » que l’on peut facilement retourner. Du coup une face Noël et fêtes et de l’autre un uni noir. Sur les photos c’est un coton noir, mais je vous mettrai un satin noir, ça sera plus chic !! Et comme un obi ça habille moyen quand même … le Père Noël n’est pas reconnu pour être un coquin, on va quand même s’habiller un peu plus. Alors je vous propose le petit jupon de tulle, élastiqué à la taille, ce qui permet de le mettre également au dessus de la poitrine. Vous le cintrez avec la ceinture et hop ! une robe toute simple et bien chouette voit le jour ! Magique non ? Je rappelle à toutes que la ceinture obi, n’est pas baleinée. Elle n’a rien à voir avec un serre taille. Elle est juste là en déco pour cintrer un peu la silhouette. Je vous les montre ? Modèle 1 Vert Modèle 2 Père Noël Modèle 3 Rouge Modèle 4 Écritures Noël Modèle 5 Bleu/violet Alors lequel à votre préférence ? Voici le tarif -Obi 35€ + 5€ d’envoi -Jupon tulle 145€ + d’envoi -L’ensemble 180€ + 14,50 d’envoi Comme dit plus haut, j’ai un stock limité des tissus, donc je vous laisse m’envoyer vos demandes d’achat en me précisant ce que vous souhaitez via mail feecorsetee et ce soir 17h, je reprends tout en commençant pas les ensembles entiers dans l’ordre d’arrivée des mails puis s’il reste du tissu par les ceintures seules par ordre d’arrivée également. Vous pourrez régler comme d’habitude par chèque, Paypal, virement ou mandat. Les commandes seront envoyées le 17 décembre en Colissimo. Voilà mes elfes, j’espère que cette aventure de Noël vous comblera ! Et …. n’oubliez pas d’être sage ! Ce vêtement dérivé du corset est parfois appelé ceinture ou encore underbust. Il possède la même logique qu’un corset avec doublure en coutil pour résister au serrage sans bouger et avoir une bonne tenue, il a également un laçage et des baleines. Son utilité ? Juste cintrer la taille pour l’affiner et galber joliment le corps. Ici un serre taille avec un laçage au dos pour le réglage et des brandebourgs pour la déco sur le devant Il commence au niveau des hanches et se termine en sous poitrine. C’est pourquoi il faut le penser comme un accessoire et donc en complément d’une tenue. Beaucoup d’entre vous ne savent pas toujours comment le porter. Vous pouvez pourtant le mettre facilement sur une chemise traditionnelle, avec un pull moulant, une blouse large pour la faire bouffer. Il ira également très bien sur une robe pour casser l’uniformité et créer un ensemble jupe et haut triché ! Avec un jean et un t-shirt, ou encore avec un sarrouel, vous deviendrez une hippie chic au coté laissé allé et pourtant bien tenue ! Vous voyez, il suffit juste d’oser en fait et de vous surprendre ressortez cette jupe toute simple du placard, ce petit haut et ajoutez un petit serre taille ! Cependant, si vous voulez le mettre facilement, pensez surtout aux couleurs. Nous n’avons pas trop l’habitude de ce vêtement alors pour un premier notamment, respecter un principe d’habitude visuelle. Si j’ouvre votre placard aujourd’hui, quelles sont les teintes que je vais trouver ? Restez dans ces couleurs que vous aimez, il vous sera plus facile à mettre. Si vous avez de tout, alors pensez à une couleur complémentaire qui pourrait aller avec la plus part de vos vêtements. Et n’oubliez pas le noir, un bon passe partout que vous pourrez facilement associer à votre garde robe en changeant juste la couleur du ruban de laçage ! Utilisation plus surprenante et moins attendue …. sur une mariée ! et oui, certaines souhaite un corset, le coté taille fine, laçage mais avec une toute petite poitrine ce n’est pas forcément une bonne idée. Le corset écrase la base des seins pour les faire remonter mais s’il n’y a pas grand chose, et bien …. il ne reste plus rien ! Le serre taille casse » sous la poitrine et donne un aspect triché d’une poitrine plus volumineuse. Avec une jolie chemise bouffante, vous pourrez ainsi avoir une robe de mariée corsetée mais adaptée ! Non mais! Bref, à partir de 115€ pour un serre-taille sur mesure avec 1 laçage vous pourrez renouveler votre garde robe de manière surprenante ! Bonjour à toutes et tous! Et voilà, les douze mois de 2010 sont passés bien vite avec beaucoup de projets, de travaux, de rencontres. Une quarantaine de mariées, et beaucoup de commandes de corsets ou serres-taille. L’année s’est d’ailleurs terminée en apothéose avec l’offre Facebook des Ceintures de Noël. J’attends d’ailleurs vos photographies alors les filles feecorsetee ? Où êtes vous ? Merci à Stéphanie et Audrey qui ont déjà joué le jeu. D’autres offres verront le jour .. restez connectées. 2010 est derrière nous, 2011 devant nous ! Alors on fonce, on ose plein de choses, et surtout on ne regrettera rien. Je vous souhaite à toutes et tous mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année, une bonne santé, des éclats de rire, des projets, des petits et gros bonheurs tout est bon à prendre. Pour moi 2011 sera une année… corsetée.. surement avec vous, des projets fourmillent dans mon esprit, il ne reste plus qu’à les mettre en place, à les faire mûrir et pour ça, il faut prendre du recul, respirer, savoir regarder autour de soi et laisser faire les choses tout en poussant juste un peu le destin. Il faut juste lui donner la bonne direction, celle que l’on choisi et à partir de là il y a de grandes chances pour que les portes s’ouvrent un peu plus grand ! 2011 …. toujours de belles aventures …. dont VOUS êtes les héros! Kikou tout le monde! fées, lutins, trolls…. et autres âmes errantes! Après 15 jours dans mon nouvel appart, je suis descendu à la cave… une cave au trésor surement… ça dépend pour qui des tissus, des rubans, … des vieux mannequins sans valeur … mais en faisant un tour là bas, j’ai remonté ma presse à œillet, un rouleau de baleine, un rouleau de toile et quelques morceaux de tissus. Donc mettez 50cm de tissu, 50 cm de toile, 8m de baleines, 18 œillets, une bobine de fil, une aiguille, du cordonnet et voilà sorti une ceinture …. et même une autre plus simple mais avec une broderie au ruban dessus … la première sur une création. Un tour d’aiguille , un peu de patience et voilà deux nouvelles ceintures un seul laçage dos ! Vous voulez les voir ? mais qui a dit que j’étais gentille ? mon lutin? non, il sait depuis longtemps que je suis… méchante comme le blog de La Méchante cf billet du blog Donc non pas de photo pas de suite …. Il faut que je refasse le stock pour le jour où on trouvera cette nouvelle boutique ! je vous tiens au jus évidemment 🙂 Car en quittant Limoges je n’avais plus grand chose en rayon… beaucoup de travail en sur mesure et voilà pas de temps pour remplir les rayonnages 😦 Et puis des commandes qui sont déjà là donc du coup… Ha au fait , certaines m’ont peut être entendues pousser mon coup de gueule contre l’anpe sur RTL hier … pendant Les Auditeurs Ont la Parole ? bref un grand moment … Et si vous l’avez loupé … tant pis pour vous… moi méchante ?? La fée corsetée continue de créer pendant que nous sommes pour certains en vacances sous les cocotiers, ou à la plage…. La rubrique serre taille de la fée s’agrandit ces derniers jours, avec de nouveaux modéles qui agrandissent une famille qui devient conséquente ! Il y en a pour tous les goûts et les couleurs, alors n’hésitez pas à flâner sur ces modèles quelques minutes, et imaginez les sur vous ! De nombreuses nouveautés arrivent sur les autres rubriques du site féerique de la fée corsetée, restez connectés ou abonnez-vous à nos flux RSS pour être sur de ne rien manquer. Bonsoir à vous fées et lutins de la forêt ! Le lutin féerique souhaitait juste vous dire que la fée corsetée travaillait très dur actuellement pour confectionner de nouveaux produits dont elle a les secrets. Avez-vous remarquer les dernières ceintures ici? Et ces corsets? Le lutin féerique
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rien ne dure au dessus de la ceinture paroles