-33% Le deal Ă ne pas rater Jumbee Roundnet â Jeu de plein air Ă 29,99⏠⏠⏠Voir le deal Bloody Flower High School Bloody Flower Club de musique AuteurMessageClara SilvasMessages 111Point de force 0Date d'inscription 09/09/2013Age 26Localisation Au 7 eme cielFeuille de personnageHistoire du Personnage CaractĂšre du personnage Orientation sexuelle HĂ©tĂ©roSujet La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Dim 15 Sep - 1901 On dit toujours que la voix est une porte ouverte sur un monde que nous ne connaissons pas, notre monde intĂ©rieur. Le chant serait en faite lâexpression de l'Ăąme, un livre ouvert si vous voulez sur vos jardins Silvas aimait beaucoup chanter et Ă©couter les autres chanter car, juste avec le chant, on pouvait apprendre Ă©normĂ©ment de chose sur les gens. Elle avait une voix magnifique se qui lui permettait de sĂ©duire tout le monde, hommes comme filles. C'Ă©tait mĂȘme pour ça que les hommes se l'arracher, sa voix et sa beautĂ© conciliaient dans une seule note les mettaient tous Ă terre. Une dĂ©esse tombĂ©e des cieux comme certains l'appelaient. Mais tous ça n'Ă©tait qu'un jeu pour elle, car personne, personne au monde, n'avait jamais pu la dĂ©crisper, jamais pu dĂ©couvrir son jardin secret. Tous les sentiments qu'elle cachait derriĂšre un sourire ou une bonne humeur n'avaient Ă©tĂ© dĂ©couvert, un Ă©nigme angĂ©lique. Clara entra dans la salle de musique, piĂšce qu'elle apprĂ©cier pour son isolement total. C'Ă©tait sa cachette secrĂšte, lĂ oĂč elle pouvait chanter de tout son cĆur, chanter comme personne ne l'avait jamais entendu et puis pleurer, pleurer les larmes qu'elle cachait sous son masque de rose. Elle entra et sâassit sur une chaise prĂšs du piano. Elle sortis une partition et se mis Ă chanter. Les murs rĂ©sonnaient renvoyant la douce mĂ©lodie. Elle ferma les yeux et laissa le chant lâ Ă©dition par Clara Silvas le Mer 18 Sep - 1710, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Mer 18 Sep - 714 " .. C'est sympa ! " Pensait le jeune homme en regardant ce qui l' sur une rembarde, Elliot avait une vue imprenable sur toute la salle de un peu comme une salle de théùtre, il y avait toujours cet espace en hauteur d'oĂč l'on peut tout voir, rares Ă©taient les personnes qui s'Ă©taient rendu compte de son existence, et il en faisait bas, dans la salle principale, une petite scĂšne, une estrade quoi, un piano, une guitare, un micro, les instruments principaux. Il fallait aller dans la rĂ©serve pour trouver des instruments moins commun, comme le violon, la contre-basse, le saxophone ou encore le du jeune homme se porta alors sur quelque chose, ou quelqu'un jeune fille, du moins, c'est ce dont il avait l'impression en la voyant depuis son longs cheveux noir, c'Ă©tait la seule chose dont il Ă©tait certain chez elle, noir comme l' s'installa au piano et commença Ă chanter, tout en trĂšs belle voix, peut-ĂȘtre mĂȘme trop..C'Ă©tait comme le chant de ses crĂ©atures marine, les sirĂšnes, celles qui vous attirent dans leurs filets pour ne jamais plus vous en laisser avait pourtant envie d'aller la voir, mais quelque chose lui disait qu'il ne le devait pas, comme si.. Il allait se passer un truc, entre elle et jeune homme se dĂ©cidĂąt finalement Ă ne pas bouger, se contentant de l'Ă©couter, on verra bien ce qu'il se passera par la suite. Clara SilvasMessages 111Point de force 0Date d'inscription 09/09/2013Age 26Localisation Au 7 eme cielFeuille de personnageHistoire du Personnage CaractĂšre du personnage Orientation sexuelle HĂ©tĂ©roSujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Mer 18 Sep - 1254 Elle chantait une berceuse tout en l'accompagnant au piano. La musique Ă©tait dĂ©jĂ trĂšs belle mais la salle avait une chose de particulier, une chose qui la rendait encore plus belle. Elle se laissait emportĂ©e par la musique puis Ă la fin du morceau en prit un autre. Elle sortis son lutin et chercha une nouvelle partition. Pendant plus de deux minutes, elle cherchais un nouveau morceau puis,... s'arrĂȘta net. Ses doigts s'Ă©taient arrĂȘtĂ©s sur une partition, son regard s'Ă©tait figeait dessus et son corps tremblait. Au bout de quelques secondes, elle referma le lutin, le posa et regarda le piano. Son regard Ă©tait profond et semblait ĂȘtre lointain mĂȘme vide.... puis, dans un geste brusque, elle reprit le lutin, sortis la partition, posa le lutin et la rangea. Ce petit jeu dura quelques minutes avant qu'elle ne prit une dĂ©cision. Elle sortis la partition et la mis sur le pupitre. Ses doigts alignaient au touche, elle commença Ă jouer."Maman jouait mieux que moi" pensa t-elle. C'Ă©tait vrais que sa mĂšre lui avait appris Ă jouer du piano avant sa mort tragique et ce morceau Ă©tait son prĂ©fĂ©rer. En y pensa les larmes lui montait aux yeux." Non! je peux le faire! Elle remis les doigts sur les touches et reprit. "Tout vas bien" pensa t'elleElle se mis Ă chanter. Elle chantait le morceau prĂ©fĂ©rait de sa mĂšre, celui qu'elle connaissait par cĆur, les larmes coulaient mais elle chantait le sourire au lĂšvres InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Mer 18 Sep - 1703 " Pourquoi s'arrĂȘter en si bon chemin ? " Se demanda-t-il en voyant la jeune fille arrĂȘter de Ă©tait comme.. chose se passait ?La jeune pianiste reprit alors sa mĂ©lodie, enchaĂźnant les n'allait tout de mĂȘme pas rester Ă©ternellement ici..Peut-ĂȘtre devrait-il aller la voir ?Pour jouer des musiques aussi douce, elle ne devait pas ĂȘtre une mĂ©chante vague de joie envahit le jeune homme alors qu'il pensait qu'elle Ă©tait peut-ĂȘtre humaine, elle aussi, la premiĂšre humaine qu'il ait rencontrĂ© odeur de cadavre qui flottait dans cet Ă©cole mĂ©ritait bien le charmant parfum d'une jeune quelques secondes d'hĂ©sitation, Elliot se dĂ©cidĂąt Ă descendre de son un grand escalier en bois, il se retrouva bientĂŽt juste derriĂšre les rideaux de la ce qu'il voyait Ă prĂ©sent, c'Ă©tait le dos de cette jeune fille qu'il observer d'en haut, quelques minutes plus tĂŽt. Clara SilvasMessages 111Point de force 0Date d'inscription 09/09/2013Age 26Localisation Au 7 eme cielFeuille de personnageHistoire du Personnage CaractĂšre du personnage Orientation sexuelle HĂ©tĂ©roSujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Mer 18 Sep - 1722 Ăa musique douce continuais Ă lui glisser entre les doigt comme le vent. Le clavier du piano commençait doucement lui aussi Ă ĂȘtre couvert de petites gouttes d'eau. Elle ne pouvait s'arrĂȘter. Le chagrin mĂ©langeait Ă la joie l'avait pris au corps, elle Ă©tait comme envoĂ»tĂ©e. Cet musique Ă©tait une histoire d'amour entre un humain et un vampire, sa mĂšre l'aimait beaucoup car elle prouvait que humain/dĂ©mon/vampire pouvaient vivre en paix et mĂȘme s'aimait NDA petit clin dâĆil Ă toi qui y crois pas p.La partition fini, elle la rangeais et ferma le clavier du piano, le sourire aux lĂšvres et les yeux encore embrumaient de toute cette eau. Elle Ă©tait entrain de se lever quand tout un coup un caprice lui passa par l'esprit. Elle se rassise et reprit une autre partition pour la jouer, cette fois c'Ă©tait une valse, une valse de prit une grand inspiration et se mis Ă chanter de nouveau mais cette fois les paroles Ă©tait d'elle. Un air entraĂźnant avec des paroles improvisĂ©es. Elle Ă©tait seule et se permis se petit caprice de star comme aurait VĂ©nus, sa sĆur aĂźnĂ©. Donc elle se mis Ă jouer une valse avec des paroles improvisĂ©e. Tout cela Ă©vitement dans la bonheur humeur qui lui Ă©tait coutume d'exprimer. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Ven 20 Sep - 1722 Des aller et retour, encore et toujours. IndĂ©cise, c'Ă©tait plus qu' devait ĂȘtre une personne, c'Ă©tait sĂ»r, ça se devinait avec un simple raisonnement et un peu de => RĂ©flĂ©chie => Non impulsive => pas plus dur que musique prit alors un tout autre joyeux et petit sourire en coin s'Ă©tira sur les lĂšvres du jeune moins, elle avait un large panneau de compĂ©tence, c'Ă©tait un point penchait sa tĂȘte de gauche Ă droite, en rythme avec la temps normal, il ne le ferait pas. Mais cette musique Ă©tait vraiment la derniĂšre note s'envola dans les air, le jeune homme ne pĂ»t qu' trop fort bien sĂ»r, il ne fallait pas qu'elle pense qu'il Ă©tait fan d'elle ou une autre banalitĂ© dans le genre. C'est bien trop futil Ă son goĂ»t. Clara SilvasMessages 111Point de force 0Date d'inscription 09/09/2013Age 26Localisation Au 7 eme cielFeuille de personnageHistoire du Personnage CaractĂšre du personnage Orientation sexuelle HĂ©tĂ©roSujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Ven 20 Sep - 1730 Elle laissa la derniĂšre note s'envoler dans les airs puis prit la partitions pour la rangeait quand un bruit la perturba. Un claquement de main, qui Ă©tait en plus derriĂšre elle. Une personne Ă©tait ici, derriĂšre elle et l'avait Ă©couter. Humain ou vampire?amis ou ennemis ?Elle prit une grande respiration et se calma. Les Ă©vĂ©nements avaient prit une tournure inattendu et elle devrait rĂ©agir avec se tourna vers son spectateur inattendu en lui faisant son plus beau sourire. "Merci, Ă qui ai je l'honneur monsieur?" Contenu sponsorisĂ©Sujet Re La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] La voix est le reflet de l'Ăąme [ Clara Silvas/Elliot Kimura] Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumBloody Flower High School Bloody Flower Club de musiqueSauter vers
Lesourire est le reflet de l'ùme. Pierre Dac; L'os à moelle, 13 mai 1938 - 7 juin 1940. Le sourire est la grimace de la jeunesse, et la grimace est le sourire de la vieillesse. Adolphe d'Houdetot; Dix épines pour une fleur (1853) Le sourire du malheureux est son cache-misÚre. Robert Sabatier; Le livre de la déraison souriante (1991) Le sourire est l'institut de beauté du visage. Robert
Advienne que pourra. "Ćil pour Ćil, dent pour dent" m'a toujours dit Maman. Tout ce que j'ai entre les mains...Toutes ces bombes dont il me suffirait d'allumer la mĂšche, sans mentir, sans rien inventer et qui dĂ©vasteraient plus d'une vie. Dont celles d'une famille que j'aime de tout mon cĆur et ça, je m'y refuse. Jamais, c'est exclu, je ne m'abaisserai jamais Ă son niveau. Et pourtant, dans les faits...Je pourrais. Je pourrais la dĂ©truire elle, qui n'a de cesse que de me mettre plus bas que terre. De jouer avec mes faiblesses, mes secrets les plus intimes, mes hontes les plus inavouĂ©es, toute ces choses que j'ai dĂ©cidĂ© un jour de mettre entre ses mains, qui n'appartiennent qu'Ă moi et qu'aujourd'hui elle retourne contre moi, hors contexte, Ă sa sauce et sans aucun scrupule. "Comment pourrais-je te faire confiance si toi, tu m'accordes pas la tienne". Belle erreur d'y a avoir cru. Avec le recul, la pire de toutes et pourtant Dieu sait que j'en ai dĂ©jĂ un bon nombre Ă mon actif. Trois ans -ou devrais-je dire huit, si l'on reprend les choses au point de dĂ©part- ne lui auront pas suffit. A croire que son bien-ĂȘtre dĂ©pend, avec ou sans moi sentimentalement Ă ses cĂŽtĂ©s, de mon achĂšvement. A croire que la perspective de me voir me relever, m'apaiser, me reconstruire sans elle ne lui est pas supportable. Et pourtant. La vĂ©ritĂ©, mĂȘme si elle fait mal, c'est que sans elle, je revis. D'ailleurs, "on survit Ă tout" et il en va du respect de moi-mĂȘme de lui survivre Ă elle, Ă sa folie qui lui est propre ainsi qu'Ă sa perfidie, ses attaques, ses menaces, ses accusations mensongĂšres, ses mesquineries, son mĂ©pris...Bref, Ă ses innombrables conflits intĂ©rieurs qu'elle n'a jamais cessĂ© d'attribuer Ă Autrui et en particulier Ă celle qui partageait sa vie. Moi. Et cette rivalitĂ©, cette jalousie qu'elle n'a jamais eu de cesse de mettre entre nous. A croire que je n'avais pas le droit d'avoir tout ce qu'elle n'a jamais eu la chance de connaitre des parents prĂ©sents, qui m'aiment et que j'aime de tout mon cĆur, qui sont ma force et ma fiertĂ©. Avoir fait des Ă©tudes et en recommencer d'autres Ă 28 ans. Avoir certes peu d'amis, mais des amis loyaux et authentiques. Peut-ĂȘtre aurais-je du lui demander pardon de ne pas ĂȘtre nĂ©e sous la mĂȘme Ă©toile? Mes instants de bonheur ne lui ont jamais procurĂ© aucune joie. J'aurais du ouvrir les yeux Ă ce moment-lĂ . Aujourd'hui, je ne sais mĂȘme plus Ă qui j'en veux le plus. A elle, pour sa mĂ©chancetĂ© sans limite ou Ă moi, de ne m'ĂȘtre jamais accordĂ© ce respect auquel j'avais droit. Quel temps perdu... Ce 12 juin, date qu'elle a sacralisĂ©e, n'est pas arrivĂ© par hasard, mĂȘme si je n'accuse personne. Et pourtant, je me souviendrai toujours de "lâĂ©lĂ©ment dĂ©clencheur". Ces phrases assassines, la violence de M. son frĂšre, la vue de ce verre brisĂ© Ă terre et de mon chat qui, a tout moment aurait pu se blesser, le voir s'en sortir aussi facilement malgrĂ© les trahisons envers "sa sĆur qu'il aime tant" et dont il m'a rendue complice Ă mon insu, malgrĂ© son omniprĂ©sence physique, morale, malgrĂ© sa langue dans ma bouche, malgrĂ© bien des choses que personne ne l'a jamais empĂȘchĂ© de faire. Pourtant, quand j'Ă©coute "cette petite voix dans mon cĆur", je dois bien reconnaĂźtre que j'ai toujours su que cette relation Ă©tait vouĂ©e Ă l'Ă©chec. J'ai toujours eu conscience de qui Ă©tait V., de ses forces utilisĂ©es la plupart du temps Ă mauvais hessien et de ses faiblesses, faiblesses qu'elle ne s'avouera jamais vraiment...MĂȘme si pourtant, de rares fois, elle en a eu conscience. Je me souviens d'une fois oĂč, comme Ă l'habitude, cela faisait des jours qu'elle ruminait de mauvaises pensĂ©es, des pensĂ©es qui viraient presque vers la paranoĂŻa ou, tout du moins, vers une certaine forme de syndrome de persĂ©cution, tant elle Ă©tait persuadĂ©e que je pensais, disais ou faisais des choses contre elle, dans le but de lui nuire. Je ne m'Ă©tais encore jamais sentie aussi impuissante face Ă ses paroles tellement virulentes, tellement injustes, Ă ses accusations, Ă ce regard si noir qu'elle me lançait, qui me tuait, et dans lequel je pouvais y lire tout le contraire de l'Amour, que j'ai tout simplement craquĂ©. Je me suis enfermĂ©e dans la salle de bain, accroupie contre la baignoire j'ai pleurĂ©, pleurĂ©, pleurĂ©, toutes ces larmes que je contenais en moi depuis si longtemps, je n'ai plus su les retenir. J'Ă©tais Ă terre, dans tous les sens du terme. Elle est entrĂ©e dans la salle de bain quelques instants plus tard, j'ai sursautĂ©. Elle s'est assise Ă cĂŽtĂ© de moi, m'a prise dans ses bras et m'a dit qu'elle ne pouvait plus continuer Ă me faire vivre ça...J'ai craquĂ© trois fois plus et j'ai pleurĂ©, pleurĂ©, pleurĂ©...ce poids s'envolait, et en mĂȘme temps, je savais qu'il reviendrait trĂšs vite me clouer les ailes d'avantage...Pourtant, sur le moment, j'y ai cru. Enfin, avec le recul, je pense que j'ai surtout voulu y croire. Des exemples tels que celui-ci, j'en ai des tas, je pense que je pourrais Ă©crire une thĂšse Ă ce sujet. Mais Ă quoi bon? Je sais ce qu'il y a Ă savoir et ce n'est pas ça qui me pĂšse. Ce qui me pĂšse, ce sont tout ces mensonges, toute cette mesquineries et depuis peu, toutes ces menaces physiques, morales qui en dĂ©coulent. Passer des semaines, des mois Ă hĂ©berger ce frangin irresponsable, irrespectueux, menteur et manipulateur, l'aider, aider cette "Jolie-Maman" qui a sans doute tout appris Ă sa fille en matiĂšre de manipulation, aider mon "Ăąme-sĆur" tellement dĂ©sespĂ©rĂ©e face aux situations des membres de sa famille. Et du jour au lendemain, n'ĂȘtre plus rien. Ou plutĂŽt, devenir aux yeux de ces gens, l'ennemi public numĂ©ro 1. Quand on dit que le fruit ne tombe jamais loin de l'arbre, c'est vrai. Sur six, la seule fleur qui a su Ă©clore ailleurs, c'est La seule qui a compris qu'en restant entourĂ©e de ces "gens-lĂ ", rien de bon ne lui arriverait jamais. La seule qui, aujourd'hui, peut ĂȘtre fiĂšre du chemin qu'elle a parcouru, fiĂšre de ses trois merveilleux enfants, de son p'tit mari en or et de ce p'tit chien dans les yeux duquel on peut y voir toute la reconnaissance de faire partie de cette petite famille. Au fond de moi, j'ai toujours su qu'elle avait eu raison de tout plaquer et de tourner le dos Ă cette famille dont les membres se tirent inlassablement les uns et les autres vers le bas. D'ailleurs, contrairement Ă V., elle ne m'a jamais intimidĂ©e. NĂ©anmoins, elle m'a toujours inspirĂ© un profond respect. Et j'ai toujours su qu'il fallait que je fuis et que je tourne cette page, ou plutĂŽt ce roman qui n'aura eu pour unique et seul effet qu'une destruction physiquement et morale lente, insidieuse mais pourtant belle et bien rĂ©elle."Tu es bien trop sĂ»re de toi" "Tu n'es qu'une menteuse, je sais trĂšs bien ce que tu penses et ce que tu racontes aux autres""Tu ne trouves pas belle, mais Ă moi tu me plais, ça devrait compter pour 100%""Tu as un problĂšme neurologique tu sais, tu oublies tout ce que je te dis""Vas-y, prends un cutter et ouvre-toi les veines comme ce 12 juin 2013""J'avais mon doigt dans ton bras, tu m'as traumatisĂ©e Ă vie""Tu n'es qu'une folle, tout le monde me le dit""Regarde tous les kilos que j'ai perdu Ă cause du mal que tu me fais""Tu ne mĂ©rites pas mon amour, pourtant je serai toujours lĂ ""Tu ne te rends pas compte de tout ce que j'ai acceptĂ©, de tout ce que j'ai fait pour toi""Je ne te crois pas. Mais je ne crois pas M. mon frĂšre non plus. Je ne sais pas ce qu'il s'est passĂ© mais je sais comment tu es et ce dont tu es capable.""Tu as essayĂ© de tuer Horus. - Tu l'as tuĂ©""Tu veux que je lui dise, moi, Ă ta mĂšre, tout ce que tu m'as dit? Dommage qu'il soit mort, tu pourrais t'en prendre une de 30cm"."Tu m'as promis qu'on serait heureuses et on ne l'est pas. C'est ta faute, je n'aurais jamais du te croire.""D'ailleurs, je te le dis dans les yeux, je n'ai pas confiance en toi. Mais au moins, je l'assume""Tu es abĂźmĂ©e, physiquement, psychologiquement""Peut-ĂȘtre qu'un jour, si tu me le prouves suffisamment, je te dirai que je t'aime""Tu ne m'as jamais aimĂ©e, tu me dĂ©goĂ»tes, tu n'es qu'une mythomane, une manipulatrice, une schyzo, une folle""Je sais tout sur toi, j'ai des preuves, tu feras moins ta grande trĂšs prochainement" Et j'en passe...Le pire, je crois, restera le jour oĂč elle m'a crachĂ© dessus. Le sentiment que cela procure me reste encore indescriptible. Toujours les mĂȘmes schĂ©mas, toujours les mĂȘmes histoires qui se rĂ©pĂštent, inlassablement, ne modifiant que leurs acteurs. Aujourd'hui, c'est Ă mon tour. Parfois je me dis que tout ça ne finira jamais, que j'y donne du crĂ©dit ou non. La riposte, l'ignorance, l'indiffĂ©rence, rien ne fonctionne. Parfois je me dis que me libĂ©rer physiquement de V., c'est m'ĂȘtre enfermĂ©e dans une prison dorĂ©e dont elle a toujours les clefs malgrĂ© que j'en change la serrure. Quoique je fasse ou pas, quoique je dise ou pas, elle continuer Ă essayer de maintenir cette emprise qu'elle avait sur moi. Elle refuse de comprendre que je ne serai plus sa victime et qu'elle, elle ne sera jamais la mienne. La vĂ©ritĂ©, si je me l'avoue, c'est que cela fait des mois, pour ne pas dire des annĂ©es que je ne l'aime plus. L'ai-je seulement aimĂ©e un jour ou ai-je voulu la sauver, parce que ses meurtrissures se rapprochent des miennes, parce que je n'ai pas le courage d'affronter mes propres dĂ©mons alors j'ai choisis dĂ©libĂ©rĂ©ment ou non d'affronter les siens. Aujourd'hui, plus que de le savoir, j'en ai conscience. Je comprends "pourquoi", je comprends "comment" et j'entrevois cette vie et cet avenir qui me tendent les bras et vers lesquels je n'ai qu'un pas Ă faire. Je veux le faire et je le ferai. D'ailleurs, je pense qu'en fin de compte, la seule dĂ©tentrice de la clĂ© de cette cage dans laquelle je me suis laissĂ©e enfermĂ©e, c'est moi. D'ailleurs...je crois que la cage est ouverte et qu'il ne me reste plus qu'Ă m'envoler. Et m'envoler, c'est prĂ©cisĂ©ment ce que je veux. M'envoler prĂšs d'Elle, savourer ce petit bonheur tout simple qu'elle m'offre Ă chacune de mes visites. ApprĂ©cier son sourire, son rire, ses beaux yeux qui me regardent et dans lesquels je me sens belle. ApprĂ©cier sa main dans la mienne, et cette envie de ne jamais la lĂącher. Essayer de me frayer une petite place dans sa vie, dĂ©jĂ bien remplie, sans abĂźmer quoique ce soit. Lui offrir une place dans la mienne. Oser lui dire que j'ai peur, peur de plein de choses mais que quand je lui dis que je l'aime, je mesure parfaitement le poids de mes mots, que je ne les galvaude pas. Oser lui faire part de ces peurs. Oser lui dire qu'Ă ses cĂŽtĂ©s je me sens heureuse. Oser lui dire qu'elle est celle que j'attendais. Oser lui parler de cet avenir pas si lointain et surtout oser lui dire que j'aimerais qu'elle y ait sa place. L'aimer, la protĂ©ger, prendre soin d'elle. Lui dire qu'Ă ses cĂŽtĂ©s, j'ai envie d'avancer, lui dire que le meilleur reste Ă venir. Accepter de laisser mon cĆur s'ouvrir Ă ce p'tit bonhomme au sourire capon et aux yeux rieurs. Ne plus avoir peur de m'attacher Ă lui. Juste, vivre, aimer et savourer ce p'tit bonheur qui s'offre Ă Nous...
CommeBeaucoup D'entres Nous ( les humains en général ^^), Les Yeux Sont dit Comme les Reflets de L'ùme. En te regardant dans les yeux, Je Peux Voir Ta Soufrance. En te regardant dans les yeux, Je Peux Voir Ton Plaisir. En te regardant dans les yeux, Je Peux Voir Ton Bonheur. En te regardant dans les yeux, Je Peux Voir Ta Peine.
" Connais-toi toi mĂȘme et apprends Ă connaĂźtre les autres, et tu connaĂźtras tous les secrets de l'univers. " Cette inscription sur le fronton du temple... Lire la suite 21,80 ⏠Neuf DĂ©finitivement indisponible " Connais-toi toi mĂȘme et apprends Ă connaĂźtre les autres, et tu connaĂźtras tous les secrets de l'univers. " Cette inscription sur le fronton du temple de Delphes est toujours d'une grande actualitĂ©. Mais comment trouver le chemin de cette connaissance ? La morphopsychologie science de la connaissance de l'Ame, c'est-Ă -dire des pensĂ©es et des sentiments de l'ĂȘtre humain par la forme de son visage est l'une de ces voies ; cet ouvrage pratique vous en livre l'accĂšs. C'est un livre de synthĂšse. Il ne s'agit pas de diviser l'ĂȘtre humain en mille morceaux, mais de trouver ce que tous les ĂȘtres ont en commun, les grands principes Ă l'origine de toute forme, visibles dans le visage. C'est un livre dynamique. Ce qu'est l'ĂȘtre humain Ă un moment donnĂ© n'a pas d'importance. Ce qui compte est ce qu'il peut devenir si on l'aide Ă dĂ©velopper le potentiel qui est en lui. C'est un livre de non-jugement. Cette vision dynamique et humaniste dĂ©bouche sur la tolĂ©rance et l'amour de l'autre, sur la volontĂ© de l'aider en s'en donnant les moyens. C'est un livre simple, Ă la portĂ©e de tous. Il ne s'agit pas d'apprendre par cĆur une multitude de donnĂ©es techniques, mais de comprendre que tout ce que l'on voit sur un visage a un sens que l'on peut dĂ©chiffrer en apprenant Ă lire ce grand livre de la nature que chacun porte ouvert en lui. Alors, la formule du fronton de Delphes prend tout son sens. Elle devient une rĂ©alisation intĂ©rieure et l'univers ouvre les portes de ses secrets, permettant Ă chacun de dĂ©velopper toutes ses potentialitĂ©s et d'accĂ©der au bonheur profond et vĂ©ritable. Physiognomonie et morphopsychologieDilatation et rĂ©tractionLe conscient et l'inconscientle visage aux diffĂ©rents Ăąges de la vieLa structure triple de l'ĂȘtre humainLe rĂ©agissant et le concentrĂ©Le rĂ©tractĂ©-bossuĂ© ou passionnĂ©Les antagonismesL'utilisation de la morphopsychologieLes alliagesRecrutement et orientation professionnelleLa morphopsychologie de l'artla loi d'unitĂ© Date de parution 01/01/2004 Editeur Collection ISBN 2-7033-0313-0 EAN 9782703303138 PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 319 pages Poids Kg Dimensions 15,0 cm Ă 21,0 cm Ă 2,1 cm Biographie de Jean Spinetta NĂ© en 1953 Ă Nice, Jean Spinetta a suivi de longues Ă©tudes licence puis maĂźtrise de droit, diplĂŽme de langues et civilisations anglaise et amĂ©ricaine et certificat d'Ă©tudes judiciaires. Alors professeur d'Ă©conomie en lycĂ©e, il est rapidement poussĂ© vers l'Ă©tude de la morphopsychologie, dans son dĂ©sir de comprendre toujours mieux ses semblables. En 1983, il obtient son diplĂŽme de morphopsychologie dĂ©cernĂ© par la SociĂ©tĂ© française de morphopsychologie. Depuis 1984, il enseigne cette discipline Ă Nice, Ă Aix-en-Provence et en Italie sous forme de cours de formation et de sĂ©minaires. Dans le mĂȘme temps, le grand intĂ©rĂȘt qu'il porte au dĂ©veloppement du potentiel de l'ĂȘtre humain, l'amĂšne Ă approfondir le symbolisme et la tradition initiatique, ce qui lui vaut de parcourir le monde en tant que confĂ©rencier.
Lecheval, le reflet de notre Ăąme ! Dossier. Depuis la nuit des temps, le cheval fascine lâhomme, on dit de lui quâil est la plus noble conquĂȘte de lâhomme, on retrouve dâailleurs souvent une confusion entre lâidentification, la passion et lâamour tant le cheval chamboule le cĆur des hommesles crĂ©atures mythiques et
InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]Elijah Reyesil existe entre Anthony et toi un lien spĂ©cial, quelque chose que personne ne saurait dĂ©finir avec exactitude et qu'aucun mot ne pourrait dĂ©crire. quelque chose qui s'est liĂ© Ă vos Ăąmes, vos corps, vos coeurs depuis votre premiĂšre rencontre jusqu'Ă aujourd'hui. c'est inscrit, lĂ , entre vous, et ça ne s'efface pas. malgrĂ© les rancoeurs, les mensonges, les tromperies et les absences, malgrĂ© tout ce qui pourrait encore vous sĂ©parer et qui pourrait vous dĂ©truire, il y a cette vibration qui Ă©mane directement de vos auras et qui vous permet de vous reconnaĂźtre mĂȘme dans le noir. c'est ce lien qui, aujourd'hui, te fait rapidement prendre conscience que la personne qui te fait face n'est pas ton meilleur ami, malgrĂ© les ressemblances physiques et les caractĂ©ristiques similaires. bien sĂ»r, cette rencontre ne te surprend pas. t'es au courant depuis longtemps de l'existence d'un jumeau. Anton' t'en avait parlĂ© pendant votre road trip mais n'avait jamais plus fait mention de ce sujet depuis votre retour. te tenant sans doute Ă l'Ă©cart de cette simple vĂ©ritĂ© parce que tu lui avais fait l'affront de ne jamais lui parler de Casey jusqu'Ă votre retour. tu n'es pas surpris, non, lorsque tu tombes sur lui, en pleine rue. tout du moins, pas surpris de te retrouver face Ă son sosie, ce qui t'Ă©tonne, c'est qu'il soit ici et que ton meilleur ami n'ait pas jugĂ© bon de t'avertir. tu marques un temps d'arrĂȘt, face Ă ce visage qui te semble si familier et qui pourtant n'appartient pas au seul homme capable de t'Ă©lever aussi vite que de te Elijah. tu murmures, tes orbes se plantant dans les siennes et un fin rictus se dessinant sur tes lippes. ce qu'Anton' ne savait pas, c'est que tu avais rencontrĂ© son frĂšre jumeau avant mĂȘme que vous quittiez la ville ensemble. Ă l'Ă©poque, il avait fait irruption dans ta vie par le biais d'un art que vous apprĂ©ciez tous les deux. ça avait Ă©tĂ© une simple rencontre, tu n'avais pas vraiment donnĂ© suite puisqu'Anton', lui-mĂȘme, ne semblait pas certain d'avoir envie d'en apprendre davantage Ă ce sujet. je.. je suis surpris de te voir ici. tu lui dis, maladroitement. surpris et pourtant, ravi. t'as le sentiment qu'il pourrait ĂȘtre un accĂšs direct Ă son frĂšre, comme s'il pouvait t'apporter la solution dont tu avais besoin pour retrouver cette complicitĂ© que tu ne partageais plus avec Anton' depuis votre retour Ă NOLA. tu es venu voir Anton' ? tu lui demandes, rapidement. ici, au beau milieu d'une rue dans le quartier culturel de la Nouvelle-OrlĂ©ans. tu te montres suspicieux et pourtant charmant, la ressemblance est frappante et Ă©moustille tes sens. mais au fond de toi, tu sais qu'il ne s'agit pas de Tony. reflet de l'Ăąme Elijah Mer 30 DĂ©c - 1221 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]KĂ©o SanrowleyAbsent et inconstant, tu erres sans rĂ©elles rĂ©ponses. Les lueurs, elles sâĂ©garent tandis que les heures dĂ©filent - grande aiguille que tu nâes plus Ă mĂȘme de contempler. Crampe Ă lâestomac qui ne te lĂąche pas mĂȘme dâune semelle. Et pourtant te voilĂ qui tourne, Elijah. Tu tournes, toi chien fou que les frayeurs ne quittent pas. Et ton esprit en vient Ă sâĂ©garer encore vers quelques eaux sombres, quelques nĂ©ants mĂ©connus - panique qui valse avec ton sein jusquâĂ ne rien laisser. Plus rien si ce nâest le silence de ses rues, lâamertume de ce qu'il est, des dĂ©mons qui jonchent son sang depuis des annĂ©es et des annĂ©es. Sinistre dĂ©cor parsemĂ© de vagues lumiĂšres pour celui qui attend, qui patiente, excitĂ©, comme si ton Ăąme s'Ă©tait dessĂ©chĂ©e. Nulle clartĂ© pour l'ĂȘtre acculĂ©. Rien dâautre que ce temps qui passe encore doucement, longuement. Sans doute aurais-tu pu prĂ©venir tout ça en appelant tout simplement. Mais rien nây fait. Encore Ă©tranger pour lui, tu ne te sens pas totalement prĂȘt Ă revendiquer la place qui te revient de droit. pas prĂȘt du tout Ă passer Ă lâimproviste pour parler journĂ©e, pour parler boulot, pour parler tout court. Alors aprĂšs de longues heures passĂ©es Ă attendre le-dit concernĂ©, tu finis par dĂ©poser les armes - bien conscient que vos retrouvailles attendraient sans doute une autre fois. Te voilĂ donc qui arpente les rues, qui tique, perdant doucement cette retenue que tu pensais possĂ©der. Les songes qui s'effritent, la raison qui abdique. Les pas n'ont de cesse de rĂ©sonner. Tu crois sentir cette nĂ©vrose se lever, s'installer â elle corrompt jusqu'Ă l'Ăąme qui n'aspire plus qu'Ă cette ancienne sĂ©rĂ©nitĂ©. Et les lueurs qui dansent, qui s'accaparent jusqu'Ă l'ocĂ©an agitĂ© de tes prunelles peinĂ©es. Tu essaies de taire les images qui te viennent, les Ă©ternelles belles paroles aux piques trop prĂ©sentes, trop violentes. De celles qui heurtent, qui viennent s'abattre avec hargne contre les esprits Ă torturer de leur propre stupiditĂ©. Tu en soupires, d'ailleurs, un peu plus agacĂ©. Nâayant pas dâautre solution pour tâen dĂ©barrasser, pour enfin t'en remettre au mĂ©pris extĂ©rieur et Ă ces collĂšgues que d'autres iraient qualifier de sauveurs. Le rictus est bref, sous cette pensĂ©e-ci, Ă peine dessinĂ©. Parce que tu les sais affranchis de cette justice dĂ©sormais discutable. AvancĂ©e par-delĂ les rues, tu tâarrĂȘtes soudainement quand ton regard sâaurĂ©ole sur cette silhouette Keo. Ahh Keo. Laisse moi te regarder, ça fait longtemps. Tu vas bien depuis le temps ? » Interrogation qui porte mĂȘme si tu te doutes quâil va bien. AprĂšs tout tu lâavais promis Ă son aĂźnĂ©, un de tes frĂšres dâarmes. Tu prends le temps de sourire simplement, sans un mot supplĂ©mentaire, les prunelles qui s'abandonnent une fois de plus, observant ton vieil ami en long et large. Pourtant tu ne sens ton cĆur qui sâemballe, brasier qui reprend vie qu'une fois ton frĂšre mentionnĂ©. Oui. Je passais par lĂ et jâai voulu lui rendre visite. » Voix qui traverse tes lippes, demi vĂ©ritĂ© prononcĂ©e. Et toi quâest-ce que tu fais lĂ ? » Re reflet de l'Ăąme Elijah Lun 22 FĂ©v - 1721 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]Elijah Reyestu erres, il n'existe pas de termes plus prĂ©cis pour expliquer ce que tu fais dans l'coin. tu devrais mĂȘme pas t'y trouver mais t'avais ce besoin de sortir de ton appartement et marcher.. comble de l'ironie, c'est ici que tes pas te conduisent. Ă croire qu'Ă chaque fois que tu t'sens mal, c'est vers lui que tu as besoin de venir. et c'est l'cas, n'est-ce pas ? mais la porte est fermĂ©e, dĂ©sormais. votre dispute te reste en tĂȘte et t'as pas Ă coeur de lui demander pardon. pas encore. il te faudra du temps.. sans te rendre compte que le temps jouera ensuite contre toi. fichu montre, et putain d'aiguilles qui condamne votre relation, sans mĂȘme que tu t'en rendes compte. ironie toujours, tu tombes sur son reflet parfait. Elijah se dresse devant toi et la chaleur envahit ton corps aussitĂŽt. n'importe qui se serait perdu dans cette contemplation en Ă©tant persuadĂ© d'ĂȘtre face Ă ton meilleur ami mais toi.. toi tu sais. pas uniquement parce que tu connais Elijah, mais parce que le lien qui te lie Ă Anthony est sublime, rare et d'une perfection si absolue qu'il ne peut exister avec personne d'autre. ça n'vibre pas de la mĂȘme maniĂšre, face Ă Elijah. pourquoi ? tu n'en sais rien. le corps est le mĂȘme, les yeux aussi.. mais l'Ăąme diffĂšre. c'est peut-ĂȘtre ce qui le rend, Ă tes yeux, diffĂ©rent d'Anthony. son sourire convainc tes lippes de s'Ă©tirer ahh Keo. laisse moi te regarder, ça fait longtemps. tu vas bien depuis le temps ? tu souris alors qu'il te passe au crible fin. oui, ça fait longtemps. mais Ă la question qu'il te pose, t'as l'coeur qui se serre. tu connais Elijah sans pour autant en ĂȘtre particuliĂšrement proche. proche au point de lui raconter ? tu n'en sais trop rien. tu gardes le silence alors qu'il reprend dĂ©jĂ oui. je passais par lĂ et jâai voulu lui rendre visite. et toi quâest-ce que tu fais lĂ ? tu ravales ta salive. trop de questions auxquelles tu n'veux pas rĂ©pondre. tu retiens mĂȘme ton souffle, juste un peu. t'as l'coeur qui se serre un peu plus. tu baisses les yeux, fuis son regard. tu glisses tes deux mains dans tes pour ĂȘtre parfaitement honnĂȘte avec toi, je venais le voir, moi aussi. enfin, je crois. au fond, c'est ton corps qui a dĂ©cidĂ©, pas ton esprit. t'as laissĂ© tes pieds prendre les commandes, t'as pas donnĂ© d'instructions. et pour ne pas te mentir.. non, ça n'va pas. tu relĂšves tes orbes vers lui, plonges ton regard dans le sien. la ressemblance est saisissante. ça t'fait drĂŽle. on s'est un peu chamaillĂ© avec Anthony ces derniers temps. et c'est un euphĂ©misme. sans parler des mots tenus par Willow et de tes espoirs rĂ©duits Ă nĂ©ant par tout ce qu'il vous arrive en ce moment. Re reflet de l'Ăąme Elijah Jeu 25 FĂ©v - 1706 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]KĂ©o SanrowleyT'as encore en mĂ©moire les mots prononcĂ©s, promesse offerte aux prĂ©mices dâune bataille dont tâas cru ne jamais rĂ©chapper. tu penses parfois encore aux cris, ceux qui tâont accompagnĂ© la douleur, dans les jours et les nuits qui se sont enchaĂźnĂ©s. Mais tu penses surtout aux maux, ceux dâun homme que tâas jamais oubliĂ©. Celle dâun frĂšre dâarmes, dâun gars dont tâas pratiquement tout appris. Alors ca peut paraĂźtre tout bonnement stupide mais tu vois en cette occasion purement hasardeuse, une aubaine pour tenir promesse. une maniĂšre d'honorer ta dette. Parce que plongĂ© dans la vie, naĂŻvement tu n'as pas vu le temps dĂ©filer, celui-lĂ mĂȘme tâayant oubliĂ©. Et aujourd'hui, les annĂ©es se sont rebellĂ©es, ayant fini par te rattraper. et pour ne pas te mentir.. non, ça n'va pas. » Tu te contentes donc dâĂ©couter comme il parle, KĂ©o sans vraiment savoir comment. sans vraiment savoir pourquoi il te livre tout ce qu'il daigne dire. Ah⊠Je vois » gĂȘnĂ© ? Non, tu ne lâes pas pour autant. Du moins tes opales nâen dĂ©mordent pas, toujours Ă la recherche des siennes. -de son regard qui te transperce de toute part. pour ainsi dire, tu ne sais que faire de la situation quâil Ă©nonce, pas encore assez proche dâAnthony pour penser changer quoique ce soit. pas assez proche de KĂ©o pour espĂ©rer comprendre, avoir les mots justes. Mais tu ne peux dĂ©cidĂ©ment pas le laisser en proie Ă ses idĂ©es sombres et tourner les talons. on s'est un peu chamaillĂ© avec Anthony ces derniers temps. » Tu ne rĂ©ponds que dâun simple sourire indolent qui s'invite aux labres, factice ombre amusĂ©e qui flotte sur tes traits alors que les iris glissent vers les cieux qui vous surplombent - L'hĂ©sitation qui pourtant foudroie le cĆur. L'hĂ©sitation qui s'immisce jusqu'Ă tout corrompre, jusqu'Ă tout dĂ©faire de cette grandiose sĂ©rĂ©nitĂ© que tu pensais pouvoir t'approprier de nouveau. Mensonges que tu n'as eu de cesse de te rĂ©pĂ©ter Elijah, dĂ©termination Ă asseoir les craintes pour les battre, les tuer, les laisser s'Ă©tioler â jusqu'Ă cette regrettĂ©e soirĂ©e. Tu essaies Ă taire les voix qui se sont levĂ©es dans ta tĂȘte, tu essaies Ă faire valoir ce silence pour lequel on se mettrait presque Ă prier. Mais tu es fatiguĂ© d'essayer de lutter contre ce que tu ne pourras jamais rĂ©primer â partie de toi que tu devrais embrasser. Cette gentillesse dissimulĂ©e derriĂšre tes airs de grand bonhomme. Ah⊠» que tu souffles Je ne suis pas sĂ»r dâĂȘtre dâune grande aide, ni mĂȘme la bonne personne mais tu veux en parler ? parce que moi je prendrai bien un cafĂ©. » idĂ©e jetĂ©e Ă mĂȘme les airs -pourquoi ? comment ? tu lâignores. tâas simplement suivi ce que ton cĆur tâas dictĂ© de faire pour une fois. Re reflet de l'Ăąme Elijah Jeu 25 FĂ©v - 2315 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]Elijah Reyesles cicatrices gardent leurs un rappel constant de c'que t'as fait et tout c'que ça implique. de tes mensonges, de tes absences, des non-dits et de cette trahison perfide dont tu es l'unique initiateur. stigmates Ă mĂȘme le myocarde qui parcourent Ă©galement ta chair, ton corps. quand tu te retrouves seul, la nuit, c'est Ă lui que tu penses. Ă vous que tu songes, et Ă tout ce que tu as brisĂ©s, ouais. parfois, tu penses aussi Ă elle et c'est lĂ que ton coeur saigne le plus. deux amours qui se sont un jour conjuguĂ©s pour donner naissance Ă un gamin dont tu t'es senti responsable si longtemps. et puis, t'as compris, trop tard, que tu s'rais jamais l'pĂšre idĂ©al puisque ce dernier existait dĂ©jĂ . quelle blague, ironie du sort. alors scindĂ©, en deux. comme ah⊠je vois, il te rĂ©pond, sans trop savoir quoi faire de plus avec cette information que tu lui donnes. non tu n'vas pas bien, prĂ©tendre le contraire serait lui mentir. si t'es ici ce soir, c'est parce que tu comptais avancer jusqu'Ă ce bĂątiment, frapper Ă sa porte et lui parler. t'excuser, comme t'aurais dĂ» le faire depuis mal qu'on fait tient ses la nuit ça te parcourt et te foudroie. c'est ta faute, tu t'invectives, tu te souviens. si t'avais agi diffĂ©remment, dĂšs le dĂ©but, tu n'en serais peut-ĂȘtre pas lĂ aujourd'hui. en proie Ă tes doutes, tes interrogations. comme terrassĂ© par tes conneries. tu souffres, bien sĂ»r, et lui ? n'importe quoi, Ă chaque fois que t'y penses, tu te dis que t'aurais dĂ» tout avouer ce matin-lĂ .. quand vous parliez d'Europe, t'aurais dĂ» lui parler de Casey. il aurait pu aider Isaac a faire son deuil et t'aurais pu rester proche de lui. tu s'rais peut-ĂȘtre pas tombĂ© amoureux de Willow et peut-ĂȘtre que.. n'importe ah⊠je ne suis pas sĂ»r dâĂȘtre dâune grande aide, ni mĂȘme la bonne personne mais tu veux en parler ? parce que moi je prendrai bien un cafĂ©. il te propose et tu souris, faiblement. Elijah n'est pas Anton', tu le sais, et pourtant, parler Ă son sosie te rĂ©conforterait peut-ĂȘtre. transfert Ă©vident, mais pas nĂ©cessaire. tu hausses les j'veux pas t'emmerder avec tout ça. tu lui rĂ©ponds, doucement. mais j'veux bien partager un cafĂ©. ce jumeau, tu le connais pas beaucoup. t'as pas eu l'occasion de le voir seul, souvent. Anton' t'en a beaucoup parlĂ©.. bien sĂ»r. Ă l'Ă©poque, vous Ă©tiez suffisamment proches pour qu'il se confie. c'est plus l'cas. tu secoues la tĂȘte, remets de l'ordre dans tes esprits et te concentres sur Eli'. je t'invite. tu conclus, comme pour signifier ton accord. Re reflet de l'Ăąme Elijah Jeu 4 Mar - 1504 Contenu sponsorisĂ©âč âș Re reflet de l'Ăąme Elijah Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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